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Bourse : de nombreux records, mais gare aux élections en France et aux Etats-Unis

DR

Les Bourses dans le monde ont continué leur progression au premier semestre 2024, jusqu'à multiplier les records, portées par l'amélioration de la croissance et la foi des investisseurs en l'intelligence artificielle, mais des chocs ne sont pas à exclure dans les mois à venir.

Sur les marchés, il devient difficile de compter les records depuis début 2024: des indices principaux d'une multitude de pays (Etats-Unis, France, Allemagne, Royaume-Uni, Japon, Inde) ont établi des nouveaux sommets, améliorés à de nombreuses reprises: plus de 30 fois pour l'indice élargi S&P 500 américain. Et pour cause : «les perspectives économiques mondiales sont de plus en plus de plus en plus positives», explique Jim Reid, responsable de la recherche économique de Deutsche Bank. L'économie américaine montre «une résistance impressionnante aux hausses rapides des taux d'intérêt» depuis 2022 tandis qu'en Europe la demande extérieure «aide à mettre fin à la stagnation des dernières années» notamment avec «la croissance chinoise qui a surpris à la hausse» en début d'année, énumère-t-il.

Le taux de chômage aux Etats-Unis reste à un niveau faible: 4% en mai après avoir passé plus de deux ans sous ce seuil, un record depuis la fin des années 1960. Les investisseurs se sont accommodés du revers de cette médaille: la Banque centrale américaine n'a toujours pas commencé à baisser ses taux. Elle ne prévoit de le faire qu'une seule fois cette année, bien moins que les attentes du marché en début d'année. Ailleurs, (...)

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