Tourisme spatial : un Français va aller dans l'espace lors d'un incroyable voyage à bord de la fusée de Jeff Bezos

Un voyage hors du commun. Un Français sera à bord de la fusée Blue Origin qui décolle pour l’espace ce dimanche 19 mai, rapporte CNews. Sylvain Chiron, un Savoyard de 54 ans, a été sélectionné pour prendre place dans la capsule de tourisme spatial conçue par l'entreprise de Jeff Bezos. Il passera, avec cinq autres personnes, une dizaine de minutes autour de la Terre. La fenêtre de tir sera ouverte à 8 h 30 heure locale, 13 h 30 heure française. Il s’agit du septième vol habité du véhicule spatial.

Sylvain Chiron s’est exprimé sur les réseaux sociaux et s’est dit «privilégié» d’avoir été retenu pour participer à l’expédition. «Un rêve de gosse», a-t-il aussi confié. Avant lui, seuls onze Français sont montés à bord de cette fusée. Ce Savoyard est un passionné du monde spatial et s’est rendu, lors de ses études aux États-Unis, en Floride, pour voir les décollages des navettes spatiales. S’il devait d’abord partir le 11 avril, son vol a été repoussé de près d’un mois.

La navette fera un très bref passage dans l’espace, mais les passagers pourront flotter quelques minutes en apesanteur et observer la planète Terre. Combien ce brasseur, natif des Alpes, a-t-il dépensé pour s’offrir cette place à bord de la fusée Blue Origin ? Le prix du billet n’a pas été révélé, mais il s’élèverait à plusieurs centaines de milliers d’euros, précise la chaîne. À titre de comparaison, pour monter à bord de Unity, le vaisseau de l’entreprise Virgin Galactic du milliardaire Richard Branson, il faut débourser (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Boeing : le vaisseau spatial de la compagnie décollera-t-il ?
«Psynariste», ce métier méconnu du cinéma qui vous rend accro aux personnages de films et séries
Grève des contrôleurs aériens : le trafic en hausse à Roissy et à Orly malgré le mouvement en avril
Un tribunal russe saisit plusieurs centaines de millions d’euros appartenant à trois banques européennes
Les employés de ces compagnies aériennes devraient recevoir une prime équivalente à huit mois de salaire