Législatives : «Une politique timorée est sans doute préférable à une mise en danger de l'économie»
100 milliards d’euros ? 200 milliards ? Finalement, tout le monde avait un peu raison, dans les différentes tentatives d’estimation du coût du programme économique du Nouveau Front populaire (NFP), enfin dévoilé ce vendredi 21 juin, à un peu plus d’une semaine du premier tour des élections législatives anticipées. Un coût qui se décompose en «trois bornes», a détaillé Alexandre Ouizille, sénateur socialiste de l’Oise, au cours d'une conférence de presse du Nouveau Front populaire : «25 milliards» d’euros en 2024, «100 milliards [d’euros] fin 2025», «150 [milliards d’euros] fin 2027». Il a également évalué ce chiffrage «autour de 125 [milliards d’euros] en 2026. 25 milliards d’euros, ce seront les dépenses nécessaires au titre de l’année 2024 pour financer les mesures immédiates comme la hausse de 200 euros du Smic mensuel net, l’augmentation de 10% des APL (aide personnalisée au logement), la hausse de 10% du point d'indice des fonctionnaires, la gratuité intégrale de l'école publique ou encore l’abrogation de la réforme des retraites et celle de la réforme de l’assurance-chômage, si le NFP accède au pouvoir à l’issue des législatives des 30 juin et 7 juillet.
En 2025, les dépenses atteindront 100 milliards d’euros et seront notamment allouées à l’éducation, avec l'embauche d'enseignants, à la santé, avec un plan pluriannuel de recrutement des professionnels du soin et du médicosocial et de revalorisation des ces métiers et salaires, à l’écologie, via «le renforcement de la structuration (...)
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