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Séisme au Maroc : "l'écart entre les dommages et les biens assurés devrait être important", avertit Scor

Bloomberg / Contributeur

Après le violent séisme qui a touché le Maroc dans la nuit de vendredi à samedi, le réassureur Scor a annoncé qu'en plus du lourd bilan humain, les dommages causés par la perte des biens immobilier pourraient être importants. De nombreuses maisons n'étaient pas assurées.

L'écart entre les dommages causés par le tremblement de terre meurtrier au Maroc et les biens effectivement assurés risque d'être considérable, de nombreuses maisons n'étant pas couvertes, a jugé dimanche 10 septembre le réassureur Scor. Le bilan humain pour le pays, qui a été touché par un violent séisme dans la nuit de vendredi à samedi, est déjà d'au moins 2.100 morts.

Cette catastrophe est d'autant plus "dramatique", selon Thierry Léger, directeur général de Scor, dont le rôle consiste à assurer les assureurs contre les événements de grande ampleur, qu'en plus des nombreuses vies perdues, beaucoup de maisons n'étaient pas prévues pour résister à un tremblement de terre et étaient donc difficilement assurables contre ce risque.

Selon Jean-Paul Conoscente, directeur général de la branche dommages du groupe, le taux d'assurés est ainsi plus faible qu'en Turquie, qui a été frappée par un tremblement de terre en février dernier, et "l'écart entre les dommages économiques et les biens assurés devrait être plus important".

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Selon une estimation préliminaire de la Banque mondiale, les pertes économiques engendrées par la catastrophe survenue en Turquie et en Syrie sont évaluées à 34 milliards de dollars mais les frais (...)

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