Publicité
La bourse ferme dans 3 h 18 min
  • CAC 40

    7 695,55
    +63,47 (+0,83 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 988,37
    +22,57 (+0,45 %)
     
  • Dow Jones

    39 308,00
    -23,90 (-0,06 %)
     
  • EUR/USD

    1,0804
    +0,0016 (+0,15 %)
     
  • Gold future

    2 369,40
    0,00 (0,00 %)
     
  • Bitcoin EUR

    53 310,93
    -2 380,76 (-4,27 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 209,83
    -51,36 (-4,07 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,35
    -0,53 (-0,63 %)
     
  • DAX

    18 431,63
    +57,10 (+0,31 %)
     
  • FTSE 100

    8 251,05
    +79,93 (+0,98 %)
     
  • Nasdaq

    18 188,30
    +159,54 (+0,88 %)
     
  • S&P 500

    5 537,02
    +28,01 (+0,51 %)
     
  • Nikkei 225

    40 913,65
    +332,89 (+0,82 %)
     
  • HANG SENG

    18 028,28
    +49,71 (+0,28 %)
     
  • GBP/USD

    1,2757
    +0,0011 (+0,08 %)
     

Ils percevaient des loyers malgré un arrêté de péril : des propriétaires condamnés

Barbalis/Unsplash

À Marseille, on le surnomme le «bidonville à la verticale». Le Gyptis est une ancienne résidence universitaire de 259 logements. Mais comme le rappelle BFMTV, en 2018, la copropriété a connu une lente descente aux enfers, devenant un point de deal jusqu’à ce qu’un arrêté de péril soit signé le 22 février 2022. À tel point qu’en mars 2023, en raison de la dangerosité des lieux, le Gyptis a été évacué. En quelques mois, les marins-pompiers ont dû intervenir, notamment pour seize départs de feu.

Pourtant, c’est bien dans cette résidence, en proie aux fuites d’eau et aux branchements électriques dangereux, que deux propriétaires continuaient à louer leurs studios acquis environ 30 000 euros et donc à percevoir des loyers. Lors de leur audience début juin, le premier propriétaire, qui vit au Maroc, a rejeté la faute sur le gérant de son studio et sur la responsabilité de l'encaissement indu des loyers durant la période couverte par l'arrêté de péril (jusqu’à novembre 2022). Il expliquait n’avoir «jamais vu» le syndic.

De son côté, le représentant de l’agence immobilière a assuré n’avoir jamais été informé de l’arrêté de péril. L’autre accusé, un homme propriétaire de deux studios, avait expliqué avoir «entendu dire» par un de ses locataires qu’il ne devait plus percevoir de loyers, mais avait quand même délivré une quittance de loyer, même si le complément de loyer versé par la CAF avait aussi été suspendu. Sa justification : «J'étais en Algérie, je ne regarde pas mes mails.»

Pas de (...)

PUBLICITÉ

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Location de vacances : les stations balnéaires les moins chères pour cet été
Immobilier : prix, gain de surface, transactions … ce qui a changé depuis un an
Immobilier : votre pouvoir d’achat dans les 50 plus grandes villes de France
Crédit immobilier : les taux poursuivent leur baisse en juillet, malgré la percée du RN
Immobilier : les plus fortes chutes de prix dans les 50 plus grandes villes de France