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Pétrole, GNL… «une nouvelle géopolitique de l’énergie se dessine, centrée sur les États-Unis»

dgdimension/Adobe Stock

Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine il y a deux ans, le secteur de l’énergie (pétrole, etc…) a connu de profondes mutations. Les défis environnementaux se sont accentués. La technologie a apporté d’importants gains de productivité. Surtout, les alliances politiques d’hier ne sont plus celles d’aujourd’hui. Une nouvelle géopolitique de l’énergie se dessine, centrée autour des États-Unis, nouvel épicentre du marché énergétique mondial.

C’est un exploit. Les États-Unis ont réussi le pari de l’indépendance énergétique et produisent plus de pétrole que n’importe quel autre pays au cours de l’Histoire. En 2023, la production de pétrole par les États-Unis a représenté 12,9 millions de barils par jour, soit la production combinée de l’Arabie Saoudite et de la Russie. Comment l’expliquer ? Les Américains ont misé sur l’innovation et les subventions publiques pour accroître rapidement la production. C’est d’ailleurs un facteur qui explique aujourd’hui la surperformance de l’économie américaine par rapport au reste du monde. L’innovation dans le secteur énergétique a pour spécificité d’être convertie rapidement en gains de productivité. D’où le fait que la productivité des États-Unis soit de l’ordre de 3-4% en rythme trimestriel… alors qu’elle est négative en zone euro.

Du côté européen, le panorama est plus morose. Des pays exportateurs nets de pétrole sont devenus importateurs nets, comme le Royaume-Uni où les investissements dans le secteur sont insuffisants. L’Europe a certes (...)

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