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Marathon des Sables : «Notre but ? Des courses de rêve qui font oublier le coût de la participation»

MDS

Mordu de courses à pied extrêmes, Cyril Gauthier (57 ans) ne pensait pas, en participant en 2009 à son premier Marathon des Sables (MDS, 250 km à parcourir dans le désert marocain en une semaine), en devenir aujourd’hui le patron. Pour lui, cette course fut d’abord «un choc», à la fois sportif et humain. «Passé 40 ans, je voulais me prouver que j’avais un corps qui fonctionnait encore bien. Puis je suis tombé amoureux de cette course par étapes», raconte le trailer, qui reconnaît que le défi qu’il propose chaque année à quelques centaines de personnes est «un peu pour les fous ».

Si, dans les premières éditions, il fallait par exemple amener sa propre nourriture pour tenir la distance dans le désert, le Marathon des Sables s’est professionnalisé pour offrir une course mais aussi une aventure dans les plus beaux déserts du monde. Ainsi, en plus de l’événement majeur (38e édition) qui vient de se conclure fin avril par la victoire du Marocain Rachid El Morabity en 20 h 42 d’efforts cumulés, le MDS a fait des petits en Jordanie, en Cappadoce, au Maroc, à Fuerteventura, en Namibie, en Égypte et bientôt au Pérou. Des éditions qui attirent chaque année un peu plus de candidats prêts à débourser entre 3 000 et 4 000 euros pour cette aventure unique. Cyril Gauthier, qui donnera ce dimanche 26 mai le départ d’une nouvelle édition en Jordanie, raconte à Capital comment il se diversifie en proposant plus de courses et comment il compose avec les aléas climatiques, économiques et géopolitiques. (...)

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