Publicité
Marchés français ouverture 48 min
  • Dow Jones

    39 164,06
    +36,26 (+0,09 %)
     
  • Nasdaq

    17 858,68
    +53,53 (+0,30 %)
     
  • Nikkei 225

    39 514,12
    +172,58 (+0,44 %)
     
  • EUR/USD

    1,0695
    -0,0014 (-0,13 %)
     
  • HANG SENG

    17 780,47
    +64,00 (+0,36 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 508,67
    +660,65 (+1,16 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 283,14
    -0,69 (-0,05 %)
     
  • S&P 500

    5 482,87
    +4,97 (+0,09 %)
     

Législatives 2024 : "La dynamique est de notre côté", assure Gabriel Attal

GUILLAUME SOUVANT / AFP

Dans les colonnes du Parisien Dimanche ce 23 juin, le Premier ministre Gabriel Attal assume "partir de loin" dans les sondages mais vouloir se battre. Le camp présidentiel reste pour l'instant distancé.

Gabriel Attal veut rester optimiste dans la dernière ligne droite de la campagne des élections législatives 2024. "La dynamique est de notre côté", a assuré le Premier ministre au Parisien Dimanche, ce 23 juin. "Il y a deux semaines, on était à 14 %, développe-t-il. Aujourd’hui, on est entre 20% et 22% d’intentions de vote."

Selon la dernière enquête de Harris Interactive et Challenges, la majorité présidentielle connaît bien une légère embellie, à 21%, en hausse de deux points par rapport au 10 juin, profitant de la guerre interne des Républicains. Mais c'est la gauche qui progresse le plus vite, en hausse de 4 points, à 26% d'intentions de vote. Quant au Rassemblement national, il recule d'un point, mais reste l'écrasant leader, à 33%, soit plus de dix points d'avance sur la majorité présidentielle. Un score qui lui permet d'espérer la majorité absolue.

Lire aussiSondage législatives 2024 : Le RN et Ciotti tout proches de la majorité absolue, le Nouveau Front Populaire résiste

"Nous sommes l’alternative à cette tenaille RN-LFI"

Bref, les élections s'annoncent toujours très compliquée pour le camp du gouvernement. Gabriel Attal reconnaît lui-même : "On part de loin, c’est sûr. Mais on se bat." Pour tenter de reprendre du poil de la bête, le Premier ministre continue à s'attaquer aux extrêmes, érigeant son bloc centriste en solution. "Je me bats pour notre pacte républicain et contre tous ceux qui dressent les gens les uns contre les autres, stigmatisent une partie des Français", explique-t-il, avant d'ajouter : "Nous sommes l’alternative à cette tenaille RN-LFI qui veut la grande déchirure du pays".

PUBLICITÉ

Lire aussiLégislatives 2024 : Giorgia Meloni, une inspiratrice en trompe-l’œil pour Bardella

Dans ce cadre, le Premier ministre cherche des alliés. "Je me bats pour constituer une nouvelle majorité", assure-t-il. Le dirigeant envoie ainsi des appels du pied à la gauche hors-LFI. "La place de la gauche républicaine est à nos côtés", estime-t-il. Il envoie ainsi un mess[...]

Lire la suite sur challenges.fr

A lire aussi