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Hôpital piraté de Corbeil-Essonnes : on connait le nom du coupable

Soupçonné depuis le début par tous les experts en cyber, le groupe de pirates informatique Lockbit a publié les données prises en otage de l’établissement hospitalier sur son site officiel. Le collectif de malfaiteurs demande un million de dollars pour la restitution des fichiers.

Trois semaines que l’on attendait la revendication du piratage. Le groupe Lockbit, un célèbre groupe de pirates russophones, a officialisé son attaque ce 12 septembre sur son site du Darknet contre le Centre hospitalier Sud francilien (CHSF), situé à Corbeil-Essonnes. Depuis le 21 août, les données de l’établissement sont en otage, les hackers ont paralysé le système et demandent 10 millions d’euros à l’administration. Une somme astronomique qui laisse entendre que les malfaiteurs ont mal jugé leur cible, les hôpitaux américains sont bien plus liés au secteur privé et disposent de plus de fond.

Lockbit a développé et met à disposition un puissant rançongiciel pour chiffrer les données ou le réseau d’une victime. Il faut évidemment tomber dans le piège, un mail d’hameçonnage, par exemple, afin que le malware s’active. Pour restaurer les fichiers en otage, les malfaiteurs exigent une somme d’argent en échange d’une clé. Un oppressant compte à rebours s’affiche sur le site, si la victime ne cède pas avant la fin du temps imparti, les informations seront publiées aux yeux de tous ou revendues au plus offrant.

Lockbit hôpital
Lockbit hôpital

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