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Guerre en Ukraine : la Société Générale a finalisé son retrait de Russie

La Société Générale et la Russie, c'est terminé. La banque française a annoncé mercredi 18 mai avoir finalisé la cession de Rosbank, poids lourd bancaire russe dans lequel elle était actionnaire majoritaire qui a été racheté par le fonds d'investissement russe Interros fondé par l'oligarque Vladimir Potanine, proche de Vladimir Poutine. La vente, dont le montant n'est pas communiqué, porte aussi sur les filiales d'assurances du groupe. Elle se traduira par une perte nette d'environ 3,2 milliards d'euros dans le compte de résultat de la Société Générale au deuxième trimestre, a précisé le groupe français, soit légèrement plus que les 3,1 milliards communiqués le mois dernier, lors de l'annonce d'un accord de cession.

"Cette opération (…) aura un coût élevé (...) mais un impact limité en capital", avait précisé mardi le directeur général Frédéric Oudéa, dont le mandat s'achève en 2023, lors de l'assemblée générale de la banque. L'impact sur le capital a été qualifié de "résiduel" par le groupe dans son communiqué, et le ratio de fonds propres durs, un indicateur-clé qui mesure la capacité à surmonter une éventuelle crise, restera bien au-dessus de l'exigence réglementaire.

"L'enjeu a été évidemment de trouver une solution de reprise permettant de nous retirer de manière effective et ordonnée, en assurant une continuité pour les clients et les salariés de Rosbank", avait également souligné Frédéric Oudéa. Interros, qui est également le précédent actionnaire de Rosbank, est un des (...)

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