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François Hollande : "Je ne serai pas un député comme les autres, c'est sûr"

Pascal LACHENAUD / AFP

L'ancien président de la République, candidat sous la bannière du Nouveau Front Populaire aux élections législatives de 2024, assume qu'il ne sera pas "un député comme les autres", compte tenu de ses précédentes fonctions.

Celui qui voulait être un "président normal" assume qu'il ne sera pas "un député comme les autres". Dans un entretien à l'AFP ce samedi 22 juin, l'ancien président François Hollande est revenu sur la manière dont il projetait son mandat de député, s'il était élu sous la bannière du Nouveau Front Populaire en Corrèze.

"Je serai un député qui aura à appeler à la responsabilité dans toutes circonstances, a-t-il développé, se défendant de toute ambition présidentielle. C'est-à-dire quelle que soit l'issue du scrutin, compte tenu de la position qui a été la mienne, compte tenu aussi de l'expérience qui fut la mienne, je serai un député qui sera à la fois vigilant et engagé pour qu'on trouve les solutions". Une recherche de solution à contre-courant de la gauche de rupture que cherche à incarner Jean-Luc Mélenchon ?

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"Le macronisme, c'est terminé"

L'ancien président, en tous cas, ne se montre pas tendre, avec celui qui - depuis la fin de son mandat - est devenu le nouvel homme fort de la gauche française. "Son silence, son retrait seraient sans doute souhaitables pour beaucoup de candidats, y compris de LFI, puisqu'on sait très bien qu'il y a aussi des divisions au sein de LFI", juge-t-il, assumant ne pas avoir "sur la méthode et sur le fond, la même attitude que Jean-Luc Mélenchon, ni la même position". Assumant l'union, le poids lourd du Parti socialiste estime que l'union doit se faire sans confusions, "sans masquer ses divergences".

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François Hollande n'épargne pas non plus son ancien ministre Emmanuel Macron : "Je pense que c'est Édouard Philippe qui a le mieux résumé la situation, c'est-à-dire que le macronisme, c'est terminé. Si tant est que ça ait existé, mais c'est terminé". Pour l'ancien président, le macronisme "a coûté cher sur le plan politique parce que le dépassement a été une dissolution au sens propre du terme".

Pas de comptes à régler

Il explique ainsi : "Les partis se so[...]

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