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Face au danger des micrométéorites, le télescope James Webb change de tactique

James Webb est conçu pour résister aux impacts de micrométéorites. Un plan de la Nasa est toutefois annoncé pour limiter les risques. Les collisions sont nombreuses et ces poussières se déplacent très vite. Elles pourraient dégrader les performances du télescope spatial.

C’est le revers de la médaille d’avoir un miroir aussi grand : le risque de subir une collision avec une micrométéorite est plus important. Le télescope James Webb, qui est positionné à 1,5 million de kilomètres de la Terre, ne l’ignore pas. Avec un diamètre de 6,5 mètres (contre 2,4 mètres pour Hubble), l’observatoire est plus exposé. Et, lui ne peut pas être réparé.

On pourrait se dire que l’espace étant suffisamment immense, la probabilité de croiser la route d’une micrométéorite est infinitésimale pour James Webb. Que la longue carrière qui attend le télescope (au moins vingt ans, grâce au très bon tir réalisé par la fusée Ariane 5) ne l’amènera qu’à faire face que quelques fois à ce genre de péril.

14 collisions avec des micrométéorites

La réalité est malheureusement très différente. Depuis son entrée en service début 2022, l’observatoire de l’agence spatiale américaine a recensé cinq impacts en six mois d’exploitation, selon des chiffres datant de juin 2022. C’est significatif. Le dernier incident évoqué alors remontait au mois de mai — la micrométéorite n’était pourtant pas plus grosse qu’une poussière.

Bien sûr,

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