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Assurance chômage : les entreprises qui vont y gagner... et celles qui vont y perdre avec le bonus-malus

Voilà un premier aperçu du bonus-malus, une mesure phare de la réforme de l'assurance chômage voulue par Emmanuel Macron, qui devrait concerner 1,3 million d'employés de certaines entreprises. À compter de début septembre, l'Urssaf devrait fournir auprès de 18.000 entreprises leur nouveau taux de cotisation chômage employeur, rapporte Les Échos ce vendredi 26 août. En fonction de leur recours plus ou moins important aux contrats courts, et à leurs secteurs d'activité, ces sociétés vont voir ce taux augmenter, diminuer, ou stagner.

Pour rappel, le principe de la mesure consiste à limiter le recours aux contrats courts dans certains secteurs d’activité, en faisant payer aux employeurs qui en abusent davantage de cotisations sociales à l’assurance chômage. Les "bons élèves" profiteront d'un bonus (un taux de 3% contre 4,05% actuellement), pendant que les "mauvais élèves" devront payer un malus (jusqu’à 5,05% de cotisations). En pratique, la question est de savoir si, pour les entreprises de plus de 11 salariés concernées, le “taux de séparation” (qui désigne le nombre de fins de contrats assorties d’une inscription à Pôle emploi observées entre le 1er juillet 2021 et le 30 juin 2022, rapporté à l’effectif annuel moyen) est supérieur au taux de référence de leur secteur : si c'est le cas, ces dernières devront payer le malus.

La réforme devait à l'origine s'appliquer à l'ensemble des entreprises de sept secteurs clés de l'économie, particulièrement gourmands en contrats courts, (...)

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