Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 957,57
    +42,92 (+0,54 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 921,48
    +30,87 (+0,63 %)
     
  • Dow Jones

    38 681,86
    +456,20 (+1,19 %)
     
  • EUR/USD

    1,0770
    +0,0043 (+0,40 %)
     
  • Gold future

    2 308,40
    -1,20 (-0,05 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 496,71
    +2 391,88 (+4,34 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 339,98
    +63,00 (+4,93 %)
     
  • Pétrole WTI

    78,03
    -0,92 (-1,17 %)
     
  • DAX

    18 001,60
    +105,10 (+0,59 %)
     
  • FTSE 100

    8 213,49
    +41,34 (+0,51 %)
     
  • Nasdaq

    16 157,97
    +317,02 (+2,00 %)
     
  • S&P 500

    5 128,78
    +64,58 (+1,28 %)
     
  • Nikkei 225

    38 236,07
    -37,98 (-0,10 %)
     
  • HANG SENG

    18 475,92
    +268,79 (+1,48 %)
     
  • GBP/USD

    1,2550
    +0,0017 (+0,13 %)
     

ArcelorMittal : ils voulaient faire reconnaître leur préjudice d'anxiété, 130 anciens salariés déboutés

Olivier Le Moal/Adobe Stock

Le conseil des prud'hommes de Thionville (Moselle) a rejeté vendredi 30 décembre pour prescription la requête de 130 anciens salariés d'ArcelorMittal qui voulaient faire reconnaître leur préjudice d'anxiété pour exposition à l'amiante, a-t-on appris auprès de leur avocat. "Le conseil des prud'hommes a considéré que les demandes étaient prescrites, et les a donc rejetées", a indiqué à l'AFP Me Romain Bouvet, l'avocat des salariés, qui réclamaient chacun 15.000 euros.

La question de la date à laquelle les salariés avaient été informés de leur exposition à l'amiante, et donc de l'éventuelle prescription du dossier, était l'un des aspects sur lesquels le tribunal était invité à se pencher. A l'audience, en mars dernier, l'avocate de la défense, Me Joumana Frangié-Moukanas, avait assuré que l'action était prescrite, et pointé l'absence de preuve d'un préjudice personnel subi par chacun des salariés. Sollicité, le cabinet de Me Frangié-Moukanas n'a pas donné suite aux demandes de l'AFP.

"Nous n'avons pas encore la motivation de la décision, donc je n'ai pas d'informations sur la date qui a pu être retenue, mais le tribunal a estimé que les salariés avaient été informés depuis plus de deux ans lors de la saisine des prud'hommes", a complété Romain Bouvet, faisant part de sa "profonde déception". "Dans aucun dossier l'employeur n'apportait une date précise, incontestable, de l'information d'exposition à l'amiante et des conséquences associées, donc nous considérions qu'il n'y avait pas (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Vueling : la vitre avant de l'Airbus se fissure, le pilote contraint de faire demi-tour
Leur vol reporté, des passagers contraints à dormir par terre et manger des chips
Scopelec : le Français Circet reprend l'entreprise et sauvegarde 1.049 salariés
Le come-back de Peaudouce, des croisières à taille humaine... ces produits vont-ils plaire ?
Uber : la reconnaissance faciale empêche les chauffeurs d'accéder à leur compte, en Inde