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Un élève handicapé incapable d'aller à la cantine, car son accompagnant n'est plus rémunéré le midi

Eky Akmal / EyeEm / Getty Images

C'est un vrai cri de détresse que vient de lancer une mère de famille du Rhône. Alors que dans le public les établissements scolaires sont tenus de fournir un accompagnement aux enfants en situation de handicap (AESH) pendant la pause déjeuner, ce n'est pas le cas dans le privé. Ce que dénonce dans les colonnes du Progrès, Aurélie, une maman de Décines-Charpieu. Son fils Nathan, atteint d’une myopathie, est en fauteuil roulant. Scolarisé dans le collège privé catholique sous contrat Jeanne-d’Arc de Décines et demi-pensionnaire, l'élève ne peut plus compter sur son AESH (accompagnant des élèves en situation de handicap), depuis septembre 2021, pour l'aider pendant la pause de midi.

Depuis la décision du Conseil d’État du 20 décembre 2020, l’Éducation nationale ne prend plus en charge la rémunération des accompagnants des élèves en situation de handicap sur cette pause méridienne. Si pour les établissements scolaires publics les collectivités prennent le relais, dans le privé, aucune disposition n'a été mise en place. "Doit-on prendre un temps partiel pour faire manger notre fils ou payer nous-mêmes l’AESH pour pallier l’abandon de l’État ?" s'indigne la mère de famille auprès de nos confrères.

La maman de Nathan a tenté de se tourner directement vers la direction du collège et même le diocèse, pour trouver une solution, en vain. "À l’heure où l’on met en avant l’école inclusive, l’Éducation nationale est finalement la première structure à exclure nos enfants", déplore-t-elle. Et (...)

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