Prudents déconfinements en Angleterre et en Espagne
Les restrictions en Grande-Bretagne vont être assouplies, même si les autorités se gardent de crier victoire. Un déconfinement prudent s'amorce dans plusieurs pays européens.
En France, Emmanuel Macron temporise sur un reconfinement. Le président réunit à nouveau un Conseil de défense sanitaire ce mercredi matin pour faire le point sur l’épidémie de Covid-19. Malgré les appels de certains médecins et scientifiques, un troisième confinement ne devrait pas être décidé tout de suite. Dans la classe politique, on se montre aussi prudent sur l’opportunité d’un reconfinement qui aurait des dégâts économiques, sociaux et psychologiques lourds. Un troisième confinement n’est pas inéluctable, veut croire le chef de file de l’opposition de droite Damien Abad. « Les chiffres ne sont pas les chiffres de novembre ni les chiffres de mars donc d'un point de vue objectif et chiffré, pour le moment, rien ne justifie que l'on aille dans cette direction, commente-t-il. Ce qui me gêne c’est pas l’hésitation du président de la République, ce sont les discours totalement contradictoires que l'on entend des mêmes personnes parfois en 24h d’intervalle. Il faut quand même que l'on ait une ligne de conduite et qu'on s'y tienne. »Le gouvernement ne joue pas avec les nerfs des Français, réplique Christophe Castaner, le président du groupe En marche à l'Assemblée : « Là, la volonté du gouvernement, c'est d'attendre d’avoir une vision claire sur l’effet du couvre-feu généralisé à 18 heures sur l'ensemble du territoire national et c’est en fonction de cette réalité-là que nous devons prendre des décisions. »Mais, pour le centriste Jean-Christophe Lagarde, l’exécutif n’est pas transparent avec les Français : « Le troisième confinement est inévitable, je ne comprends pas pourquoi le gouvernement ne le dit pas. La question c'est quand et comment ? On voit en Grande-Bretagne, on voit partout que l'augmentation de la propagation du virus a obligé ces pays qui ne voulaient pas être confinés à le faire. »C’est en fin de semaine que le gouvernement aura les résultats de ses enquêtes sur l’efficacité du couvre-feu et la diffusion du variant anglais. ► À lire aussi : À la Une: peut-on encore échapper au reconfinement ?Vaccins : pas de décalage des dosesComment accélérer la vaccination en France, alors que l’épidémie est très active, et le nombre de doses limité ? Dans un avis rendu ce week-end, la Haute Autorité de santé (HAS), instance consultative, plaidait pour que la 2e injection du vaccin de Pfizer/BioNTech soit décalée à 6 semaines au lieu des 3 ou 4 prévues. Fait peu courant, le ministère de la Santé ne suit pas cet avis et se range finalement à celui de nombreux autres scientifiques. Le schéma vaccinal ne change donc pas.
Joe Biden et Vladimir Poutine se sont parlé au téléphone. Le nouveau président américain s'est entretenu mardi avec son homologue russe Vladimir Poutine pour la première fois depuis son entrée à la Maison Blanche, il y a une semaine. Au menu, plusieurs dossiers au cœur des tensions entre les deux pays. Joe Biden n’a pas évité les sujets qui fâchent. Du traitement des manifestants par les forces de sécurité russes, à l’empoisonnement de l’opposant Alexeï Navalny qu’il juge préoccupant, en passant par le dossier ukrainien : autant de sujets que son prédécesseur préférait soigneusement éviter. Selon le compte rendu de sa porte-parole, le nouveau président américain a aussi évoqué les accusations « d’ingérences russes dans l'élection de 2020 » aux États-Unis, la récente cyberattaque géante contre des ministères américains imputée à Moscou, ou encore les informations selon lesquelles la Russie aurait payé des « primes » à des talibans pour tuer des soldats américains.► À lire aussi : Manifestations pro-Navalny en Russie: Moscou accuse Washington d'ingérenceLa Maison Blanche a précisé que Joe Biden était à l’initiative de cet appel. Selon l’agence AP, le Kremlin avait demandé, dès la semaine dernière un entretien avec le nouveau président américain, mais celui-ci avait souhaité d’abord s’entretenir avec ses alliés européens, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne et avec le secrétaire général de l’Otan. Côté russe, le ton se veut plus conciliant. Dans son compte rendu, le Kremlin souligne que Vladimir Poutine a plaidé pour « une normalisation des relations entre la Russie et les États-Unis », qui selon lui « répondrait aux intérêts des deux pays mais aussi de ceux de toute la communauté internationale ». Dans la foulée, le président russe a soumis un projet de loi qui prévoit de prolonger de cinq ans l'accord russo-américain New Start sur la limitation des armements nucléaires. ► À lire aussi : Joe Biden, «russophobe» ou nouvel ami du Kremlin?
Si Marco Schwarz a remporté le slalom le plus prestigieux de la saison de Coupe du monde à Schladming, les Français ont animé la course à d'autres niveaux. Clément Noël et Alexis Pinturault complètent le podium tandis que Julien Lizeroux a disputé la dernière manche de sa carrière.
Le parquet de Bobigny a ouvert une enquête préliminaire en février 2020 pour "abus de confiance" et "blanchiment" visant la Cité des arts visuels, association fondée par le réalisateur muti-récompensée et dirigée par son frère.
Ce mardi 26 janvier, Bernard Tapie a soufflé sa 78e bougie. L'occasion pour son fils Stéphane de lui adresser un touchant message sur les réseaux sociaux.
Sur l'Ukraine, l'empoisonnement de l'opposant Alexeï Navalny ou encore la cyberattaque géante imputée par Washington à Moscou, le président américain s'est montré ferme lors de sa première conversation téléphonique avec son homologue russe, mardi. Cela n'a pas empêché les deux pays de faire état d'un "accord de principe" en matière de désarmement. Le nouveau président américain Joe Biden a affiché, mardi 26 janvier, sa fermeté lors de son premier échange avec son homologue russe Vladimir Poutine.Il a ainsi "réaffirmé notre soutien ferme à la souveraineté de l'Ukraine face à l'agression persistante de la Russie", a déclaré la porte-parole de la Maison Blanche Jen Psaki.Joe Biden a également fait part de sa "préoccupation" au sujet de "l'empoisonnement d'Alexeï Navalny", l'opposant russe arrêté le 17 janvier à son retour en Russie après une convalescence de cinq mois en Allemagne, ainsi que du "traitement des manifestants pacifiques par les forces de sécurité russes".Il a ensuite évoqué, selon sa porte-parole, les "ingérences dans l'élection de 2020" aux États-Unis, la récente cyberattaque géante contre des ministères américains imputée par Washington à Moscou, et les informations selon lesquelles la Russie aurait payé des "primes" à des Talibans pour tuer des soldats américains en Afghanistan. Autant de sujets minimisés par Donald Trump, malgré l'indignation générale qu'ils suscitent dans la classe politique américaine.Relations au plus bas"Le président Biden a dit clairement que les États-Unis agiront avec fermeté pour défendre nos intérêts nationaux face aux actes de la Russie qui nuiraient à nous ou nos alliés", a ajouté la Maison Blanche dans un communiqué.Comme il le fait régulièrement, Vladimir Poutine a de son côté dit soutenir "une normalisation des relations entre la Russie et les États-Unis", qui selon lui "répondrait aux intérêts des deux pays mais aussi de ceux de toute la communauté internationale, étant donné leur responsabilité particulière dans le maintien de la sécurité et de la stabilité dans le monde", a rapporté la présidence russe.Les relations américano-russes sont au plus bas depuis la fin de la Guerre Froide, malgré les tentatives de rapprochement infructueuses de l'ex-président des États-Unis Donald Trump. Son successeur Joe Biden se veut beaucoup plus offensif.Prolongation du traité New StartParadoxalement, en raison d'un calendrier ultra-serré, ce nouveau chapitre s'ouvre sur une volonté de dialogue : le traité de limitation des armes nucléaires New Start, dernier accord bilatéral de ce genre, expire dans dix jours et Washington avait annoncé dès la semaine dernière vouloir le prolonger.Selon la Maison Blanche, les deux dirigeants ont "évoqué la volonté des deux pays de prolonger New Start pour cinq ans, et ont convenu de faire travailler leurs équipes de manière urgente pour une extension d'ici le 5 février".Le Kremlin a même fait état d'un "accord de principe" dans un projet de loi transmis au Parlement, après avoir fait état de "l'échange" mardi de "notes diplomatiques sur la prolongation" accompagné de "contacts énergiques" pour reconduire le traité "dans l'intérêt des deux pays, comme du monde entier"."Nous sommes parvenus à un accord avec la Russie sur le fait qu'il faut aller vite pour conclure un tel accord d'ici le 5 février", a précisé le département d'État américain à l'AFP.Nucléaire iranienLe démocrate américain s'est aussi dit prêt à "envisager des discussions en matière de stabilité stratégique sur une série de questions liées au contrôle des armements et à la sécurité". Il se démarque sur ce terrain de son prédécesseur républicain, qui n'avait pas réussi à reconduire New Start - ou pas voulu le faire - et s'était retiré d'autres traités.Donald Trump avait notamment claqué la porte avec fracas de l'accord international sur le nucléaire iranien, dont Moscou est un des signataires. Le sujet, au menu de l'appel téléphonique, devrait aussi être assez consensuel, Joe Biden ayant promis de revenir dans cet accord. Mais les modalités risquent d'entretenir les tensions : la Russie a demandé au gouvernement américain de faire le premier pas, alors que les États-Unis exigent que ce soit l'Iran qui renoue d'abord avec ses engagements, dont il s'est partiellement affranchi.Avec AFP
"On a une vraie usine embarquée à l'intérieur du bateau et ça, c'est vraiment la nouveauté", se réjouit sur franceinfo le navigateur et président de l'association The SeaCleaners.
Manchester City s'est emparé du fauteuil de leader après sa nette victoire à West Brom (5-0). Dans le même temps, Arsenal s'est imposé à Southampton (3-1) après avoir été mené dès la 3e minute.
Yannick Bestaven n'est pas le mieux placé au classement au pointage de 22 heures mardi, mais les prévisions augurent d'un retour sur le fil du Rochelais face à Charlie Dalin et Boris Herrmann.
WASHINGTON (Reuters) - Le recours en constitutionnalité déposé par un élu républicain pour empêcher la tenue du procès en destitution de Donald Trump a été rejeté mardi par 55 voix contre 45 au Sénat, où l'acte d'accusation était arrivé la veille.Cinq sénateurs du parti conservateur se sont associés aux démocrates pour rejeter cette motion déposée par le républicain Rand Paul, selon lequel ce vote pouvait préfigurer l'issue de la procédure.
ELECTIONS - Elle sera la tête de la liste de gauche « Ile-de-France en commun » aux prochaines élections régionales
Clément Noël, deuxième, et Alexis Pinturault, troisième, ont vécu un mardi soir fort satisfaisant lors du slalom de Schladming remporté par l'Autrichien Marco Schwarz.
Heurts entre des agriculteurs indiens et les forces de police, le 26 janvier 2021 à New Delhi
Dans L’Heure des Pros, ce mardi 26 janvier, Pascal Praud a taclé le professeur Delfraissy, qui selon lui changerait d’avis du jour au lendemain concernant la gestion de la crise liée au Covid-19.
Carrière, vie amoureuse, anecdotes... Yahoo vous propose de parcourir, en images et en 1 minute, les moments forts de la vie de Victoria Beckham.
Le président russe Vladimir Poutine a soumis un projet de loi prévoyant le prolongement de cinq ans de l'accord russo-américain New Start sur la limitation des armements nucléaires, une étape importante dans l'avancée des négociations sur ce traité-clé expirant le 5 février.
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En ce mardi 26 janvier, Jennifer Aniston a fait des heureux ! La belle Américaine a publié un cliché sur Instagram pour annoncer une nouvelle inédite. Sitôt la parution du cliché sur les réseaux sociaux, les commentaires enthousiastes n'ont cessé d'affluer.
NEW YORK (Reuters) - La Bourse de New York a fini en baisse de 0,07% mardi, après avoir ouvert en hausse, alors que les investisseurs digéraient un lot de résultats d'entreprises, tandis qu'une annonce de la Réserve fédérale attendue mercredi a contribué à limiter les échanges.L'indice Dow Jones a perdu 22,96 points, à 30.
MONTAGNE - La victime se trouvait à 2.200 mètres d'altitude dans le secteur la Combe des Balmes