Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 953,97
    +39,32 (+0,50 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 917,17
    +26,56 (+0,54 %)
     
  • Dow Jones

    38 642,32
    +416,66 (+1,09 %)
     
  • EUR/USD

    1,0779
    +0,0052 (+0,49 %)
     
  • Gold future

    2 302,70
    -6,90 (-0,30 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 093,59
    +2 019,10 (+3,67 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 323,01
    +46,04 (+3,61 %)
     
  • Pétrole WTI

    78,62
    -0,33 (-0,42 %)
     
  • DAX

    17 990,06
    +93,56 (+0,52 %)
     
  • FTSE 100

    8 208,40
    +36,25 (+0,44 %)
     
  • Nasdaq

    16 139,95
    +298,99 (+1,89 %)
     
  • S&P 500

    5 118,82
    +54,62 (+1,08 %)
     
  • Nikkei 225

    38 236,07
    -37,98 (-0,10 %)
     
  • HANG SENG

    18 475,92
    +268,79 (+1,48 %)
     
  • GBP/USD

    1,2558
    +0,0025 (+0,20 %)
     

France, Turquie, Brésil : les perdants du tourisme mondial

L’industrie mondiale du tourisme ne devrait croître que de 3,1% cette année. Le World Travel and Tourism Council, l’organisme de promotion et de recherche du secteur, a revu sa projection de mars – +3,3% – à la baisse dans une étude publiée cette semaine. En cause, trois talons d’Achille : la France tout d’abord, où le nombre de touristes étrangers a chuté de 7% depuis janvier selon le gouvernement. Le manque à gagner atteint déjà 1 milliard d’euros pour l’Ile-de-France. Si les attentats de Paris et de Nice ont marqué les esprits, les intempéries et les grèves ont aussi desservi l’hexagone. Le secteur ne devrait croître que de 1,1% cette année contre 2,9% précédemment prévus. Autre maillon faible : la Turquie où la contribution du tourisme au PIB devrait baisser de 3,2% cette année. Là encore, le secteur fait les frais du terrorisme, des tensions avec la Russie, du coup d’Etat avorté et de la proximité de la Syrie en guerre. Troisième destination problématique : le Brésil. En dépit du coup de pouce olympique, le secteur du tourisme devrait se contracter de 1,6% cette année, conséquence de la crise politique et économique, et du virus Zika.