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Zoé Adjani : "Je ne cherche pas à ressembler à ma tante"

De sa tante elle a le côté insoumis, la vocation d’actrice et le nom… celui d’une légende du cinéma ! Dans « Cigare au miel », de Kamir Aïnouz, Zoé prouve que, chez les Adjani, le talent est une histoire de famille. Pour le deuxième grand rôle de sa jeune carrière, l’actrice de 23 ans incarne Selma, une étudiante rebelle qui part en Kabylie en quête de ses origines. Ce personnage miroir lui a permis, à elle aussi, de découvrir le pays de ses ancêtres.

À 5 ans, elle pratiquait la danse et le chant, fréquentait une école de cirque et prenait ses premiers cours de théâtre. Gamine hyperactive, elle se créait des mondes fictifs, pressentant déjà qu’elle s’épanouirait dans un domaine artistique. À peine dix ans plus tard, Zoé Adjani prenait toute la place sur l’affiche de son premier film, « Cerise », réalisé par Jérôme Enrico. La précocité en héritage. Son père, Éric Adjani, a débuté à 20 ans comme assistant caméra de Marguerite Duras.

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Sa tante, Isabelle Adjani, a décroché son premier rôle à 14 ans. Compliqué d’échapper à l’atavisme ? « J’ai baigné dans cet univers. Mon père, après avoir joué dans quelques films, notamment le “Don Giovanni” de Losey, était devenu photographe. Il me montrait son travail, je l’accompagnais à ses expos. Ma mère était directrice de production. Mes parents se sont rapidement séparés. Mon beau-père, Stéphane, opérateur steadicam, a commencé à nous emmener sur ses tournages autour du monde alors que j’avais 4 ans. » C’est sur l’un d’eux, « La source des femmes », de Radu Mihaileanu, qu’elle décide de devenir actrice. À 12 ans. Elle passe trois mois dans la douceur marocaine, découvre, telle une petite souris avide d’apprendre au milieu des actrices et des techniciens, comment tout s’orchestre, et elle trouve son Graal. « Je suis définitivement chez moi sur un plateau de cinéma, c’est là que je me sens vivante. »

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