Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    7 479,40
    -51,32 (-0,68 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 894,02
    -8,58 (-0,18 %)
     
  • Dow Jones

    39 118,86
    -45,20 (-0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0716
    +0,0007 (+0,06 %)
     
  • Gold future

    2 336,90
    +0,30 (+0,01 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 421,66
    +660,52 (+1,16 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 275,92
    -7,91 (-0,62 %)
     
  • Pétrole WTI

    81,46
    -0,28 (-0,34 %)
     
  • DAX

    18 235,45
    +24,90 (+0,14 %)
     
  • FTSE 100

    8 164,12
    -15,56 (-0,19 %)
     
  • Nasdaq

    17 732,60
    -126,08 (-0,71 %)
     
  • S&P 500

    5 460,48
    -22,39 (-0,41 %)
     
  • Nikkei 225

    39 583,08
    +241,54 (+0,61 %)
     
  • HANG SENG

    17 718,61
    +2,14 (+0,01 %)
     
  • GBP/USD

    1,2646
    +0,0005 (+0,04 %)
     

Web3 : nu et NFT font bon ménage

Pascal Boyart

Alors que les institutionnels occupent de plus en plus le terrain de la blockchain, par des produits financiers dérivés, le développement d’outils de finance décentralisée ou même par l’achat d’art NFT, l’aspect transgressif de cette technologie popularisée par Satoshi Nakamoto est souvent oublié. Pourtant, elle reste bel et bien un outil pour traverser les frontières et s’opposer à la censure.

C’est ce médium que Pauline Faieff a choisi pour libérer sa voix, sous la forme de photos de nu. Elle pose ainsi entièrement ou partiellement dénudée, principalement sous l’objectif de son ex-compagnon Gregg Jeanjean, de sa sœur Victoria, du photographe azuréen Lilian Mahieu, du montréalais Romain Vergnaud (connu sous le pseudonyme jetaimenphoto) ou même le sien, un hybride plein format, en studio mais le plus souvent en extérieur, sur le pont d’un voilier dans la baie new-yorkaise ou dans la nuit de Times Square, dans le métro, dans la neige ou une rivière, nette au premier plan, ou dans un élégant bokeh précédant le Brooklyn Bridge. Avec un joint aussi. Une mise en avant pourtant loin d’être évidente pour cette Française.

Après une enfance passée en Martinique puis des études parisiennes, Pauline Faieff a découvert l’Amérique du Nord en deux temps, d’abord New York sept mois durant puis Montréal après un nouveau passage sur les terres d’Aimé Césaire. “Ma sœur vit à Montréal. Paris ne me convenait pas. En termes d’ouverture sur le monde, c’était aussi plus convenable d’être ici, nous glisse (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite