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Washington accuse le prince héritier saoudien pour l'assassinat de Khashoggi

Le prince héritier d'Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, est accusé par les services de renseignement américains  d'avoir «validé» l'assassinat du journaliste saoudien Jamal Khashoggi.

Les Etats-Unis ont publiquement accusé vendredi le prince héritier d'Arabie saoudite d'avoir «validé» l'assassinat du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, au risque d'une crise entre les deux pays alliés. «Nous sommes parvenus à la conclusion que le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane a validé une opération à Istanbul, en Turquie, pour capturer ou tuer le journaliste saoudien Jamal Khashoggi», écrit la direction du renseignement national dans un court rapport de quatre pages, déclassifié à la demande du président Joe Biden alors que son prédécesseur Donald Trump l'avait gardé secret.

A lire aussi : La famille du journaliste Jamal Khashoggi «pardonne» à ses tueurs

«Le prince héritier considérait Khashoggi comme une menace pour le royaume et plus largement soutenait le recours à des mesures violentes si nécessaire pour le faire taire», ajoute-t-elle.

Restrictions de visas

Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a annoncé dans la foulée des restrictions de visas pour 76 Saoudiens, dont l'identité n'a pas été dévoilée, dans le cadre d'une nouvelle règle, baptisée «Khashoggi ban», ou «interdiction Khashoggi», visant à interdire d'entrée aux Etats-Unis toute personne accusée de s'attaquer, au nom des autorités de son pays, à des dissidents ou journalistes à l'étranger. Washington a aussi annoncé des sanctions financières contre une unité d'intervention spéciale et contre Ahmed al-Assiri.

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Le général Assiri, un influent militaire, avait été mis en accusation mais acquitté par la justice saoudienne. La justice turque l'accuse de son côté d'être un des commanditaires du meurtre du journaliste saoudien intervenu en octobre 2018 dans le consulat de son pays à Istanbul.

Le président Biden, qui avait(...)


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