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Variole du singe : la HAS recommande la vaccination d'une partie de la population

Face à l'apparition de contaminations liées à la variole du singe sur le continent européen, mais aussi au Canada, la Direction générale de la santé avait saisi en urgence la Haute Autorité de santé (HAS) afin de préciser la stratégie vaccinale à mettre en œuvre pour réduire la transmission du virus. En réponse à cette demande, la HAS a annoncé ce mardi qu'elle recommandait la vaccination des personnes adultes ayant été en contact avec une personne contaminée par la variole du singe. Cela concerne aussi les professionnels de santé exposés sans mesure de protection individuelle.

Une solution "pertinente au regard des délais d'incubation de la maladie souvent compris entre 6 et 16 jours", indique la HAS dans un communiqué qui précise que cette décision s'est faite à l'orée de la "stratégie vaccinale adoptée dans les autres pays européens et des données précliniques transmises par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) qui, bien que préliminaires et limitées, étayent l'intérêt d'une vaccination rapidement après l'exposition au virus".

Le processus de vaccination devra ainsi être mis en place dès l'identification d'un cas d'infection à la suite d'une investigation de l'ARS et de la cellule régionale de Santé publique France. Un individu sera considéré comme contact à risque dans le cas de figure où il aurait eu un "contact physique direct non protégé" avec un porteur du virus, ou s'il a été en "contact non protégé à moins de deux mètres pendant (...)

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