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Université : malgré les alertes, ces agents travaillent toujours moins de 35 heures par semaine

©Capital/Unsplash/Freepik

Rien n’y fait. Malgré une première alerte de la Cour des comptes en 2015 et une seconde en 2019, les personnels non enseignants des universités ont toujours un temps de travail inférieur à la durée légale, fixée à 1 607 heures par an - soit 35 heures par semaine - pour l’ensemble des agents dans la loi de transformation de la fonction publique de 2019. Le constat a le mérite d’être clair : aujourd’hui, «aucune université ne respecte la durée annuelle légale du temps de travail», signale la Cour des comptes dans un nouveau rapport publié ce mercredi 10 janvier.

Ainsi, les quelque 77 000 agents de bibliothèques, ingénieurs, administratifs, techniciens, sociaux et de santé des universités (aussi appelés les «Biatss») ont chacun travaillé, en moyenne, 1 467 heures en 2022, soit un peu plus de 32 heures par semaine, d’après une enquête menée par l’institution de la rue Cambon. Soit 140 heures de moins que la durée légale. Mais cette moyenne recouvre une forte hétérogénéité entre les universités, avec un maximum de 1 593 heures par an pour l’université de Reims Champagne-Ardenne - qui reste toutefois inférieur à la durée légale - et un minimum de 1 352 heures pour l’université Toulouse 2 Jean Jaurès.

Cette situation s’explique, d’une part, par une circulaire ministérielle du 21 janvier 2002 qui comporte plusieurs dispositions contribuant à réduire de manière «irrégulière» la durée légale du temps de travail. «La circulaire conduit, en effet, à considérer, à tort, comme du temps de travail (...)

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