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En trois ans, l'infirmier avait escroqué une fortune à la CPAM

WavebreakMediaMicro/Adobe Stock

Un escroc malgré lui. À 68 ans, Roland, infirmier retraité, encourt 6 mois de prison avec sursis. Poursuivi pour escroquerie au préjudice de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie de Bayonne (Cpam) pour un montant de 109.000 euros, entre début avril 2017 et fin mars 2020, l’homme n’a pas gagné le moindre centime dans l’affaire. On lui reproche d’avoir engagé quatre remplaçants pendant ses congés et ses week-ends, sans faire de contrats. Après des contrôles internes, l'organisme social du Pays basque a porté plainte au tribunal judiciaire de Bayonne. L’enquête policière a confirmé les faits.

"Je ne savais pas que je n'avais pas le droit", a plaidé à la barre ce père de famille mardi 21 février. Lunettes, cheveux blanc et doudoune kaki sur le dos, l’homme bredouille : "Je ne me suis pas enrichi en faisant cela, c'était une habitude, une tolérance", assure-t-il. Lors de ses départs en vacances, l’infirmier permettait à des collègues de le remplacer en utilisant sa carte professionnelle individuelle au cours des consultations, mais n’en tirait aucun bénéfice. Il rétrocédait en effet l'argent à ses remplaçants. Mais c’est interdit, rappelle France Bleu.

Nul n’est censé ignoré la loi

C’est également ce qu’a rétorqué la présidente de la chambre correctionnelle Emmanuelle Adoul. La caisse "ne pouvait pas contrôler la réalité de celui qui fait l'acte médical", a-t-elle souligné. S'adressant au prévenu, elle interroge : "Si votre remplaçant donnait un mauvais médicament ?" Le retraité courbe (...)

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