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Les sanctions contre la Russie sur le dossier Nalvany ne sont pas la seule réponse, dit Borrell

LES SANCTIONS CONTRE LA RUSSIE SUR LE DOSSIER NALVANY NE SONT PAS LA SEULE RÉPONSE, DIT BORRELL

par John Chalmers et Robin Emmott

BRUXELLES (Reuters) - Le porte-parole de la diplomatie européenne a déclaré mardi vouloir se rendre à Moscou et que des sanctions contre la Russie pour le placement en détention de l'opposant Alexei Navalny n'étaient pas la seule réponse possible du bloc contre la Russie.

"Nous ne sommes pas contre la pression, mais la pression doit être graduée", a déclaré à Reuters Josep Borrell à l'occasion d'une interview.

"Il y a eu des sanctions, il peut y avoir plus de sanctions. Mais les sanctions en elles-mêmes ne sont pas une réponse politique. Les sanctions sont un outil. Outre des sanctions, on doit continuer à tendre la main, à discuter et à exprimer son point de vue", a-t-il expliqué.

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Josep Borrell dit avoir reçu du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, une invitation permanente à se rendre à Moscou et que la situation actuelle rendait une telle visite "plus nécessaire que jamais".

Alexei Navalny, opposant au président russe Vladimir Poutine, a été interpellé dimanche dès son arrivée à Moscou en provenance d'Allemagne, où il a été soigné puis a observé une période de convalescence à la suite de son empoisonnement en août en Russie.

L'Union européenne a déjà imposé des sanctions économiques contre la Russie à la suite de l'annexion en 2014 de la Crimée.

Le bloc a ajouté en octobre de nouvelles sanctions à l'encontre des responsables russes proches du président Vladimir Poutine après l'empoisonnement d'Alexei Navalny.

L'opposant russe accuse Vladimir Poutine d'être à l'origine de son empoisonnement, ce que dément le Kremlin.

La Lituanie, la Lettonie et l'Estonie ont proposé que l'Union européenne réagisse à l'arrestation d'Alexei Navalny par des sanctions contre Moscou.

(John Chalmers et Robin Emmott; version française Claude Chendjou, édité par Jean-Michel Bélot)