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Prêt étudiant : emprunter à moins de 1% c'est possible, mais pas sans vigilance

étudiante cherchant un livre
étudiante cherchant un livre

Si les études supérieures facilitent l’insertion professionnelle des jeunes, elles ont dans l’immédiat un coût. Selon la Fédération des Associations générales étudiantes (FAGE), la rentrée universitaire de 2020 est revenue à 2 361 euros pour un étudiant de 20 ans en licence ne vivant plus chez ses parents. Puis, chaque mois, cette étudiant type a dû débourser près de 1 200 euros en frais de vie courante. Soit une note totale qui dépasse les 13 000 euros à fin juin.

Une alternative au salariat étudiant

Dans ces conditions, les étudiants ne pouvant pas s’appuyer sur l’épargne familiale ont essentiellement deux options : le salariat ou le prêt étudiant. « Pourquoi les étudiants font des prêts ? Pas de gaité de cœur. Pour financer leurs études supérieures, ils peuvent compter essentiellement sur trois ressources : la solidarité familiale, l’aide sociale à savoir essentiellement les bourses et les allocations de la CAF, et le salariat. Les étudiants qui empruntent font ce choix pour éviter le salariat, qui concerne environ 1 étudiant sur 2 mais qui, rappelons-le, est la première cause d’échec dans l’enseignement supérieur », explique à MoneyVox, Adrien Lienard, vice-président de l’Unef.

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