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Des policiers payés au noir pour assurer la sécurité des meetings de Macron ?

Emmanuel Macron a-t-il eu recours à des policiers payés au noir lors de ses meetings ? Selon une enquête du Parisien, publiée jeudi 30 juin, lors du dernier discours à Bercy du candidat à la présidentielle, le 17 avril 2017, des gardiens de la paix assurant la sécurité n’avaient pas de carte professionnelle les autorisant à exercer dans le secteur du privé. Le journal affirme que ces derniers ont été payés au noir par un certain "Fortunato B.", un intermédiaire mandaté pour effectuer la sécurité alors que ses entreprises sont interdites d’exercice en France.

"Des fraudes avérées et qui n’ont jamais été sanctionnées par le Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps)", l’organe dépendant du ministère de l’Intérieur, chargé de l’autorité dans les métiers de la sécurité privée. "Une longue enquête, clôturée par un contrôleur du Cnaps en novembre 2020, a épinglé toutes ces pratiques et bien d’autres encore", précise le quotidien.

Le préfet Cyrille Maillet, nommé par Emmanuel Macron à la tête du Cnaps en 2018, a choisi de "classer" cette affaire sans suite, contre l’avis des chefs de service consultés au préalable qui indiquaient les "très nombreux manquements", justifiant un passage devant la commission de discipline. Or, Fortunato B., qui a été condamné en 1985 à trois ans de prison pour deux braquages, a également "officié avec ses troupes, là aussi payées de la main à la main, lors d’autres meetings du candidat En Marche, à Marseille et à Grenoble", rapporte Le Parisien. (...)

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