Publicité
La bourse ferme dans 4 h 53 min
  • CAC 40

    7 653,11
    +114,82 (+1,52 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 974,07
    +67,74 (+1,38 %)
     
  • Dow Jones

    39 331,85
    +162,33 (+0,41 %)
     
  • EUR/USD

    1,0762
    +0,0013 (+0,12 %)
     
  • Gold future

    2 356,20
    +22,80 (+0,98 %)
     
  • Bitcoin EUR

    55 638,01
    -2 533,69 (-4,36 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 294,59
    -40,33 (-3,02 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,76
    -0,05 (-0,06 %)
     
  • DAX

    18 337,40
    +173,34 (+0,95 %)
     
  • FTSE 100

    8 164,09
    +42,89 (+0,53 %)
     
  • Nasdaq

    18 028,76
    +149,46 (+0,84 %)
     
  • S&P 500

    5 509,01
    +33,92 (+0,62 %)
     
  • Nikkei 225

    40 580,76
    +506,07 (+1,26 %)
     
  • HANG SENG

    17 978,57
    +209,43 (+1,18 %)
     
  • GBP/USD

    1,2700
    +0,0015 (+0,12 %)
     

«Le pilote d’avion est un homme, dans l'inconscient collectif» (C.Ourmières-Widener, Air Caraïbes)

Illustration Capital / DianaCardoso

Qu’est-ce qu’être une femme dirigeante ? Forte d’une longue et quelquefois tempétueuse carrière dans l’aérien, Christine Ourmières-Widener, aux commandes du pôle aérien du groupe Dubreuil (Air Caraïbes, French Bee et Hi line Cargo), répond sans détour à la question dans cet entretien avec Capital. A 59 ans, celle qui a passé près de quarante ans dans l’aérien et qui en connaît tous les secrets, n’a rien perdu de son accent chantant avignonnais, qu’elle parsème de quelques anglicismes adoptés au cours de son expérience à travers le monde.

Issue d’une famille modeste du sud de la France, Christine Ourmières-Widener s’est extirpée de son milieu grâce aux études, qui étaient, selon ses parents, «un moyen d’ascension sociale». Bonne élève, assidue et curieuse, surtout en mathématiques et en physique, elle s’oriente naturellement vers une école d’ingénieurs, où elle développe son attrait pour l’aéronautique. Elle suit en parallèle un double cursus en école de commerce, à l’Essec. Une fois ses deux diplômes en poche, la jeune Avignonnaise décroche son premier poste à Air France, où elle côtoie chaque jour le Concorde, le plus emblématique des avions français. Une expérience qui a scellé sa passion et peut-être aussi son avenir.

Capital : Le caractère très masculin de l’aérien, surtout dans les années 80-90, ne vous a jamais rebutée ?

Christine Ourmières-Widener : Par essence, ce secteur participe à l’ouverture d’esprits, car il offre la possibilité de voyager à travers le monde, de rencontrer (...)

PUBLICITÉ

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Le milliardaire Warren Buffett a changé son testament
Atos : les créanciers et les banques se mettent d’accord pour sauver le géant informatique
Air France-KLM : les Jeux Olympiques de Paris 2024 auront un impact négatif
Bourse : le CAC 40 bondit après le premier tour des élections législatives
Législatives 2024 : les résultats du 1er tour «confirment un vrai mal-être des patrons de TPE»