Le petit garçon de «Titanic» touche une jolie somme grâce à une seule phrase prononcée dans le film culte
Sorti dans les salles françaises de cinéma en 1998, Titanic est aujourd’hui un film culte et l’un des plus rentables de tous les temps. Depuis plus de vingt-cinq ans, l’œuvre de James Cameron génère d’importants «revenus résiduels», ou royalties, grâce notamment aux rediffusions à la télévision. Ainsi même en ayant prononcé qu’une seule phrase dans le film durant plus de trois heures, l’acteur canadien Reece Thompson continue de toucher chaque année de l’argent, rapporte Allociné.
Le comédien, à l’époque âgé de 5 ans, incarnait un petit garçon irlandais se trouvant aux côtés de sa mère et de sa sœur à bord du célèbre paquebot en train de couler. «Qu’est-ce qu’on fait, maman ?», prononce-t-il dans le film. Ces quelques mots permettent à Reece Thompson de gagner entre 100 et 250 dollars tous les ans, indique le site spécialisé. Or, à l’époque de Titanic, le jeune acteur aurait pu gagner beaucoup plus d’argent en acceptant de jouer dans une publicité qu’on lui avait proposée. Finalement, le choix de sa mère s’est révélé payant…
«Il s’est avéré que c’était l’un des films les plus rentables de l’histoire», confiait Reece Thompson dans une interview à Business Insider en 2018. «Donc c’est assez bizarre rétrospectivement. Ma mère me disait : ‘Faisons-le. Ce sera cool. Même si le film est nul, nous irons le voir.’ Évidemment, ça a fini par exploser, donc ce n’était pas une mauvaise décision de sa part, c’est sûr !» En plus de son salaire, le comédien a également touché un paiement supplémentaire (...)
(...) Cliquez ici pour voir la suite
Législatives 2024 : que prévoient les programmes de RN, NFP et Ensemble pour les jeunes ?
Plusieurs propriétaires de yachts devant la justice pour préjudice écologique
La destruction d’un satellite russe crée la panique et une alerte pour l’ISS
Une paire de chaussures ayant appartenu à Elvis Presley vendue aux enchères à une somme folle
Le pare-brise d’un avion Boeing se fissure pendant le vol, les passagers croient à une dépressurisation