Publicité
La bourse ferme dans 2 h 10 min
  • CAC 40

    7 320,83
    -25,32 (-0,34 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 412,08
    -6,43 (-0,15 %)
     
  • Dow Jones

    36 245,50
    +294,60 (+0,82 %)
     
  • EUR/USD

    1,0825
    -0,0060 (-0,55 %)
     
  • Gold future

    2 071,70
    -18,00 (-0,86 %)
     
  • Bitcoin EUR

    38 484,70
    +1 912,85 (+5,23 %)
     
  • CMC Crypto 200

    856,74
    +65,18 (+8,23 %)
     
  • Pétrole WTI

    73,63
    -0,44 (-0,59 %)
     
  • DAX

    16 405,41
    +7,89 (+0,05 %)
     
  • FTSE 100

    7 497,94
    -31,41 (-0,42 %)
     
  • Nasdaq

    14 305,03
    +78,83 (+0,55 %)
     
  • S&P 500

    4 594,63
    +26,83 (+0,59 %)
     
  • Nikkei 225

    33 231,27
    -200,24 (-0,60 %)
     
  • HANG SENG

    16 646,05
    -184,25 (-1,09 %)
     
  • GBP/USD

    1,2621
    -0,0093 (-0,73 %)
     

Le pétrole est-il à la croisée des chemins ? Le conseil Bourse

Maksym Yemelyanov/Adobe Stock

Le cours du pétrole est à la peine. Depuis son pic majeur de mars (139 dollars), le prix du baril de Brent a reflué fortement. Du point de vue de l’analyse technique, le cours a rebondi fortement sur le très important support de 86,70-87,43 dollars (pic de 2018 et 2021, et soutien de la méthode Ichimoku). Mais pour l’heure, si la tendance haussière de long terme reste préservée (le baril a rebondi sur l’oblique haussière reliant les creux majeurs d’avril 2020 et décembre 2021), la tendance des derniers mois reste baissière.

Le Brent évolue actuellement sous les résistances de 95,36-97 dollars, 98,50-100 dollars (point de passage de la moyenne mobile à 50 jours et de l’oblique baissière reliant les pics majeurs depuis juin, entre autres) et 102-103,50 dollars (pic de fin août et point de passage de la moyenne mobile à 67 jours, entre autres). Mieux vaut attendre un signal (de l’analyse technique) avant de passer haussier, selon nous. Inversement, une rupture du support de 86,70-87,43 dollars et de l’oblique haussière de long terme enverrait une alerte baissière, selon nous.

La chute du pétrole ces derniers mois s'explique par l'assombrissement des perspectives de l’économie, qui pèse sur la demande future d’or noir, alors que “de nombreux prévisionnistes estiment que la récession sera mondiale en 2023, au vu des niveaux d’inflation actuels et des politiques monétaires très restrictives des banques centrales”, souligne eToro, qui note que la demande mondiale de pétrole est déjà “en (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Faut-il craindre une explosion des taux et un krach sur les obligations ?
FDJ : la somme impressionnante non réclamée en deux ans
Risque de récession en Europe, gare à un choc ! Le conseil Bourse
Evian, Badoit, Volvic : pourquoi vous ne trouvez plus ces eaux à Intermarché
EDF : la baisse de production d'électricité cette année pèsera 5 milliards d'euros