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Les ONG crispées par le débat sur la transition énergétique

Greenpeace refuse de participer au débat national, et certaines associations posent leurs conditions.

L'organisation du débat national en France sur la transition énergétique, qui doit débuter mardi prochain, a tourné à la crise de confiance entre ONG et gouvernement, au point que Greenpeace renonce à y participer et que d'autres associations posent des conditions. "L'ouverture du comité de pilotage à des spécialistes des économies d'énergie et des énergies renouvelables est une condition de notre participation au débat", a expliqué mardi Benoît Hartmann, porte-parole de France Nature Environnement (FNE). "Si tout est verrouillé, cela ne servira à rien, et cela se fera donc sans nous", a ajouté le responsable de FNE.

La veille, les principales ONG de défense de l'environnement avaient signé un communiqué commun pour critiquer la composition du comité de pilotage censé animer ce grand débat, dévoilée samedi dans les colonnes du Monde. Cinq "sages" feront partie de ce comité, présidé par la ministre de l'Écologie, Delphine Batho. Ce qui pose problème aux ONG : la non-représentation de la filière des énergies renouvelables et l'absence d'un expert des économies d'énergie, alors que deux anciens dirigeants du nucléaire y figurent.

Il s'agit de l'ex-patronne d'Areva, Anne Lauvergeon, et de l'ancien administrateur général (de 2000 à 2002) du Commissariat à l'énergie atomique, Pascal Colombani. Les autres membres sont l'ex-directeur de Greenpeace, Bruno Rebelle, le climatologue Jean Jouzel, et la directrice de l'Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri), Laurence Tubiana. Lundi soir, après avoir été reçu par Delphine Batho, Greenpeace a annoncé qu'il ne participerait pas au débat qui doit durer plusieurs mois. "Nous n'avons plus confiance dans ce débat et dans la réelle volonté du gouvernement de réussir la transition (...)

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