Netflix : 5 chiffres sur la série “Lupin” avec Omar Sy qui donnent le tournis

Sortie en 2021, Lupin, la série française estampillée Netflix, cartonne. La troisième partie de la série diffusée début octobre 2023 est l’occasion de revenir sur les chiffres pharaoniques entourant la série.

D’après les informations des Echos obtenues en 2021, un épisode de la série coûte très cher, près de 2 millions d’euros par épisode (hors rémunération du producteur). Soit le double d’une fiction française dite “classique”. Un nombre de deux millions qui aurait été revu à la hausse au fil des saisons, appelées “parties” par Netflix.

Dans une critique de la partie 3 de Lupin, le média britannique The Guardian note que “les budgets de Netflix ont également été revus à la hausse pour la série”, de quoi gonfler l’enveloppe allouée par épisode.

Il n’y a pas que le personnage d’Arsène Lupin qui soit voleur. Lors du tournage dans le quartier du Parc, à Nanterre (Hauts-de-Seine), une vingtaine de personnes a fait irruption cagoulée et y a dérobé du matériel selon Le Parisien. Un préjudice estimé à plus de 300 000 euros. Un “incident” confirmé à l’AFP par Netflix.

Il est difficile de connaître les audiences de Netflix, outre sa propre communication. Lors du lancement de la série Lupin en 2021, la plateforme américaine a annoncé que la série française était la deuxième série la plus regardée avec 76 millions de vues. Ce chiffre est à nuancer, car pour comptabiliser un visionnage, le géant américain prend comme critère le visionnage des deux premières minutes d’un épisode pendant les (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Pétrole : la guerre Israël-Hamas met le feu aux poudres, feu de paille ou risque d’explosion ?
Israël : alors que le trafic aérien international est à l’arrêt, les compagnies locales continuent de voler
CAC 40, pétrole, or, dollar… la guerre Israël-Hamas va-t-elle avoir un lourd impact ?
Allemagne : trafic aérien brièvement suspendu à Hambourg après des menaces sur un avion iranien
Tour Eiffel : certains vendeurs à la sauvette stockent leurs produits « dans les bouches d’égout »