Publicité
Marchés français ouverture 4 h 15 min
  • Dow Jones

    38 085,80
    -375,12 (-0,98 %)
     
  • Nasdaq

    15 611,76
    -100,99 (-0,64 %)
     
  • Nikkei 225

    37 797,53
    +169,05 (+0,45 %)
     
  • EUR/USD

    1,0725
    -0,0008 (-0,08 %)
     
  • HANG SENG

    17 550,07
    +265,53 (+1,54 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 093,49
    +183,57 (+0,31 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 392,50
    +9,93 (+0,72 %)
     
  • S&P 500

    5 048,42
    -23,21 (-0,46 %)
     

Ne jouez pas seul à Wild Hearts

Édité par Electronic Arts, Wild Hearts est un jeu de chasse qui fait irrémédiablement penser à la saga phare des Monster Hunter. Bonne nouvelle : les fans n’y verront pas qu’un simple pastiche.

Wild Hearts est un empilement de sommes improbables. Omega Force, studio japonais à l’origine du jeu, n’a pas besoin d’Electronic Arts, éditeur américain, pour percer en Occident. Wild Hearts s’affirme comme le point de rencontre entre les Monster Hunter et Fortnite — certains évoquent aussi des ressemblances avec Dead Stranding. A priori, rien ne va vraiment ensemble dans ces titres cités et, surtout, aucun ne m’attire à titre personnel. Comme je l’ai déjà assumé auparavant, la saga Monster Hunter n’attire pas et mes parties de Fortnite se comptent sur les doigts d’une seule main.

Je me suis donc lancé dans Wild Hearts avec le frein à main. Néanmoins, j’ai eu la bonne idée d’y jouer en compagnie d’un confrère — en toute franchise, quelqu’un avec qui j’ai l’habitude de tester les expériences coopératives. Si l’on a soufflé devant les mécaniques parfois opaques du jeu (pas toujours accueillant avec les novices), on a quand même apprécié de chasser des gros monstres — tout en crachant notre venin sur les récents matches du PSG. Parce que c’est aussi cela l’esprit de la coopération, quand le jeu vidéo ne devient plus qu’un prétexte pour parler de tout et —

[Lire la suite]