Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    39 331,85
    +162,33 (+0,41 %)
     
  • Nasdaq

    18 028,76
    +149,46 (+0,84 %)
     
  • Nikkei 225

    40 074,69
    +443,63 (+1,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0749
    +0,0007 (+0,06 %)
     
  • HANG SENG

    17 769,14
    +50,53 (+0,29 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 641,18
    -1 008,75 (-1,72 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 332,23
    -12,28 (-0,91 %)
     
  • S&P 500

    5 509,01
    +33,92 (+0,62 %)
     

Des "naufragés" : des habitants de Montpellier privés d'Internet depuis 40 jours

UNSPLASH

Depuis le 11 juillet, ils ne peuvent plus aller sur Internet, n'ont plus de téléphone et ne peuvent plus regarder la télévision. Ces personnes résident dans le quartier Clemenceau à Montpellier, relate Midi Libre. Mais il ne s'agit pas seulement de simples clients. C'est tout le quartier qui est concerné par cette coupure Internet, y compris les commerçants. En cause, des travaux effectués récemment dans leur rue pour la ligne 5 du tramway. En effet, le 24 juin, le maire de la ville a posé le premier rail de cette nouvelle ligne, relatait France 3 Occitanie. Une inauguration en fanfare, sauf que dans le quartier Clemenceau, les câbles mis en place par Orange ont été coupés.

Pour les commerçants, c'est donc le système D, puisque les terminaux de paiement ne fonctionnent plus. Ils ne peuvent pas non plus recevoir d'appels. "J’étais pourtant client Orange pour la fiabilité", explique à Midi Libre le propriétaire du tabac “Le Chaptal”. "Je dois contacter les fournisseurs pour leur rendre les invendus, sans quoi ils me sont facturés. Ne pouvant les joindre, j’ai perdu de l’argent", complète-t-il, désabusé. Problème, en contactant le service clients, il n'a obtenu qu'une indemnisation de 75 euros. Pour la gérante de la boutique d’antiquités "Coin Brocante du 6" de la rue voisine, c'est aussi le désespoir : "En appelant Orange, ils m’ont dit que le problème serait réglé le 25 juillet, puis le 1er août et maintenant on m’annonce que ce sera le 1er septembre."

Mais pour d'autres commerçants, (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite