Publicité
Marchés français ouverture 5 h 22 min
  • Dow Jones

    38 085,80
    -375,12 (-0,98 %)
     
  • Nasdaq

    15 611,76
    -100,99 (-0,64 %)
     
  • Nikkei 225

    37 682,63
    +54,15 (+0,14 %)
     
  • EUR/USD

    1,0730
    -0,0003 (-0,03 %)
     
  • HANG SENG

    17 336,20
    +51,66 (+0,30 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 882,46
    -203,17 (-0,34 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 381,74
    -0,83 (-0,06 %)
     
  • S&P 500

    5 048,42
    -23,21 (-0,46 %)
     

Moselle : la caissière de chez Carrefour offre une incroyable ristourne à ses sœurs, mais se fait attraper

Moselle : le caddie vaut 2 900 euros, la caissière baisse la facture à 30 euros pour ses soeurs (Getty Images/Tetra images RF)

Les trois complices avaient un plan (presque) parfait avant de finalement se faire attraper.

La famille, c’est sacré. Une caissière mosellane a peut-être poussé un peu loin cet adage le 31 décembre dernier. Ce jour-là, ses deux sœurs poussent les portes de l’hypermarché Carrefour de Thionville avec pour objectif de remplir leur charriot de manière exagérée. Munies d’un lecteur de code-barres, elles ne scannent que les produits les moins chers avant de passer à la caisse de leur sœur aînée, complice de l’escroquerie. Au vu de la ristourne XXL, on comprend mieux pourquoi.

>> Inscrivez-vous à notre newsletter "Yahoo Pour Vous" pour recevoir toutes les infos utiles pour votre quotidien

Alors qu’elles auraient dû payer 2 900,75 euros, la caissière malhonnête ne leur demande que 30 euros, rapporte Le Républicain Lorrain. Malheureusement pour les trois sœurs, un vigile, intrigué par les charriots bien remplis, a découvert leur arnaque.

"Il n’y avait que 300 euros de denrées alimentaires"

Cette histoire a mis à mal l’unité familiale puisque l’hôtesse de caisse a pris soin de charger ses deux jeunes sœurs devant la justice. "Ce sont mes sœurs qui en ont eu l’idée. Au début, je ne voulais pas. Puis j’ai fini par céder pour des produits alimentaires uniquement", a tenté de justifier la caissière indélicate. L’avocate de l’accusée a mis en avant "ses grandes difficultés financières" et sa précarité étant donné que son contrat "se terminait". Ce à quoi le président du tribunal, Éric Lambert, a rétorqué : "sur les 2.900,75 euros de marchandises, il n’y avait que 300 euros de denrées alimentaires", d’après des propos relayés par le quotidien régional.

Finalement, le tribunal a condamné la prévenue à 70 heures de travail d’intérêt général, à effectuer dans les prochains 18 mois.

Ce contenu peut également vous intéresser :