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Les messages d'incitation à la violence sur Facebook auraient augmenté de 45% durant la semaine électorale aux États-Unis

Les messages d'incitation à la violence sur Facebook auraient augmenté de 45% durant la semaine électorale aux États-Unis

Depuis des années, les chercheurs en désinformation, les groupes de défense des droits de l'homme, les ONG, les gouvernements, les journalistes et les utilisateurs tentent d'alerter Facebook sur les cas où la plateforme est utilisée pour inciter à la violence dans le monde réel. Selon BuzzFeed News, Facebook suit également ces cas grâce à un outil de mesure interne appelée "tendances à la violence et à l'incitation" ; et à l'heure où certains farouches soutiens de Donald Trump appellent ouvertement à la violence à l'heure du dépouillement des voix, ces tendances grimpent en flèche.

L'outil de mesure analyse les hashtags et les termes de recherche utilisés sur Facebook au cours des cinq derniers jours afin de produire un score qui estime la probabilité de violence potentielle dans le monde réel. Ce score a augmenté de 45 %, passant de 400 à 580, durant cette semaine électorale aux États-Unis.

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La discussion des employés sur les termes qui ont connu une forte hausse de popularité récemment, tels que #DrainTheSwamp, #Trump2020, et #KeepAmericaGreat ainsi que les hashtags affiliés au groupe conspirationiste QAnon, a laissé entendre que Facebook a pris des mesures pour supprimer certaines tendances potentiellement dangereuses. Mais il existe également de nombreux termes de "zone grise", qui n'appellent pas explicitement à la violence, mais pourraient tout de même être corrélés à un préjudice réel.

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Facebook n'a pas répondu aux questions de Business Insider US, mais un porte-parole a déclaré à BuzzFeed News que Facebook "(restait) vigilant dans la détection de contenu qui pourrait inciter à la violence en cette période d'incertitude accrue".

Facebook s'est démené cette semaine pour supprimer ou limiter la diffusion de contenus qui violent ses politiques ayant trait à la désinformation électorale ou l'incitation à la violence, mais il n'a pas toujours été en mesure de supprimer à temps ce type de contenus avant (...)

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