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Marine Le Pen répond à Christophe Castaner et son "argument de feignasse"

La leader du Rassemblement national a réagi à l'expression "ennemie de la République" utilisée à son encontre par Christophe Castaner considérant que c'est un "argument de feignasse".

Marine Le Pen, candidate à l'Elysée, a estimé mardi que l'expression "ennemie de la République" utilisée à son encontre par le chef de file des députés de la majorité Christophe Castaner était un "argument de feignasse".

"J'aimerais bien qu'il (Christophe Castaner) exprime des arguments. Cela fait des années qu'on nous sort cette litanie des 'ennemis de la République', 'un parti non républicain'. On n'a jamais eu un élément précis. Je crois que c'est un argument de feignasse", a déclaré sur Europe 1 la présidente du Rassemblement national. "Qu’ils travaillent, qu’ils nous opposent des idées, qu’ils nous expliquent en quoi les nôtres sont négatives parce que bien souvent ils finissent par y adhérer plusieurs mois ou plusieurs années après", a fait valoir la dirigeante d'extrême droite.

"Qu’ils arrêtent cette chasse aux sorcières qui consiste à dire que nous serions des ennemis de la République. Nous ne sommes pas des ennemis de la République. Nous sommes les seuls protecteurs aujourd’hui de la République", a plaidé la candidate à la présidentielle.

"Il faut que nous fassions tous l'effort de ne pas être le banquet de fin d'album d'Astérix"

Depuis que le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a jugé Marine Le Pen trop "molle", la macronie a lancé une série d'attaques frontales contre la cheffe du RN. Marine Le Pen a en outre indiqué qu'elle ne "croyait guère" à une candidature à la présidentielle du polémiste Eric Zemmour et que "rien ne (l')inquiétait" à cet égard.

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"Au moment où nous avons la possibilité d'appliquer nos idées, il faut que nous fassions tous l'effort de ne pas être le banquet de fin d'album d'Astérix, et que tous ensemble nous nous mettions à travailler, à s’écouter pour avancer vers un projet pour la(...)


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