Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    39 857,78
    -145,81 (-0,36 %)
     
  • Nasdaq

    16 790,17
    +104,21 (+0,62 %)
     
  • Nikkei 225

    39 069,68
    +282,30 (+0,73 %)
     
  • EUR/USD

    1,0868
    -0,0004 (-0,03 %)
     
  • HANG SENG

    19 636,22
    +82,61 (+0,42 %)
     
  • Bitcoin EUR

    63 071,94
    +1 752,39 (+2,86 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 393,42
    +39,00 (+2,88 %)
     
  • S&P 500

    5 311,59
    +8,32 (+0,16 %)
     

PEL, livrets, bourse... Ce courrier à ne pas oublier pour éviter un prélèvement fiscal

Courrier lettre
Courrier lettre

La fiscalité de l'épargne a été grandement simplifiée avec la réforme du prélèvement forfaitaire unique (PFU), surnommé « flat tax », en vigueur depuis 2018. Sauf régime spécifique (enveloppes exonérées ou partiellement défiscalisées du PEA, de l'assurance vie, du Livret A, du LDDS...), la fiscalité est la même pour tous les gains issus du capital financier : 12,80% d'impôt sur le revenu et 17,20% de cotisations sociales. Soit 30% au total. Le panel de placements concernés par la flat tax s'étend ainsi des comptes à terme aux revenus boursiers en passant par les livrets bancaires « classiques » ou à l'épargne logement : les PEL et CEL ouverts depuis janvier 2018 sont en effet soumis à l'impôt dès la première année de détention.

Cette flat tax est prélevée en deux temps, à l'image du prélèvement à la source sur les salaires et autres revenus d'activité. 1. Une perception à la source au moment du versement des intérêts et dividendes : on parle d'acompte fiscal. 2. Une régularisation suite à la déclaration annuelle des revenus, en prenant en compte ce qui a déjà été prélevé.

Lire la suite sur MoneyVox

Voir également
- PER : les frais qu'il faut réussir à comparer
- Prix de l'électricité : des factures en hausse jusqu'à 11% malgré le bouclier tarifaire
- Banque en ligne : ces options bien utiles pour éviter de tomber dans le rouge