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Licenciement puis retour de Sam Altman : c’est quoi ce bazar chez OpenAI ?

TechCrunch/Wikimedia

Le feuilleton est incroyable et n’est pas sans rappeler l’éviction de Steve Jobs d’Apple en 1985 par John Sculley qu’il avait lui-même recruté dans sa propre entreprise. En l’espace de cinq jours, Sam Altman, cofondateur d’OpenAI à l’origine de ChatGPT, qui s’est lui aussi fait licencier de sa propre start-up, fait son grand retour aujourd’hui.

Selon la presse américaine, notamment Bloomerg ou Time, des crispations étaient nées entre Altman et le conseil d'administration sur le renoncement de la promesse initiale d’OpenAI, à savoir un développement gratuit et transparent. Depuis plusieurs mois, Altman s’est lancé dans une course mondiale pour la suprématie d’OpenAI en matière d’IA et a multiplié les initiatives pour faire croître l’entreprise et dépasser ses concurrents, d’une façon peu compatible avec un fonctionnement sans but lucratif.

C’était d’ailleurs la raison du départ d’Elon Musk, qui quittait le projet en 2019 en dénonçant qu’OpenAI soit devenue «une entreprise à code source fermé et à but lucratif maximal, contrôlée de fait par Microsoft», qui vient d’entrer au capital de l’entreprise, avec un premier chèque d’un milliard. Celle-ci change alors de statut pour devenir une entité à but lucratif plafonné.

Cette crainte des dérives de l’intelligence artificielle suppose que l’IA sera, dans un futur proche, capable de dépasser l’homme dans l’intégralité de ses fonctions cognitives. Adam D’Angelo, directeur de Quora et membre du CA d’OpenAI, en est convaincu et pour lui, l’événement (...)

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