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«L’Union européenne va massivement emprunter et la BCE relancera les achats d’obligations»

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Le problème de la dette, une constante du débat électoral, a pris cette année une dimension nouvelle dans un contexte géopolitique fortement troublé. La dette de la France est certes très élevée au regard des critères de Maastricht, mais force est de constater que cet endettement avait une contrepartie positive qui éclate aujourd’hui. C’est en effet grâce à sa dette que la France a pu investir et acquérir une indépendance quasi-totale en matière de production d’électricité avec son réseau de centrales nucléaires, développer des capacités de défense - notamment nucléaires - uniques en Europe, maintenir un système de transports ferroviaires sans équivalent ailleurs, et atteindre un niveau élevé en matière de protection de l’environnement. Il faut noter à cet égard l’existence d’une contrainte historique, la quasi-impossibilité pour l’État français de maîtriser certaines dépenses en raison des menaces sur l’ordre public exercées par des organisations qui ont su infiltrer des secteurs vitaux de l’économie, comme les transports ferroviaires, aériens ou maritimes.

Mais plus généralement, la guerre en Ukraine a été le grand révélateur des faiblesses de la plupart des autres pays européens dans les domaines où précisément la France avait beaucoup investi. Nos partenaires ont pris peu à peu conscience de leurs retards et de leurs immenses besoins d’investissement, notamment en Allemagne, ce qui signifie un endettement incontournable. L’Europe aurait pu s’aligner sur les Etats-Unis et accepter (...)

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