Publicité
La bourse ferme dans 2 h 49 min
  • CAC 40

    8 052,67
    +36,02 (+0,45 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 980,25
    +41,24 (+0,83 %)
     
  • Dow Jones

    38 085,80
    -375,12 (-0,98 %)
     
  • EUR/USD

    1,0728
    -0,0005 (-0,04 %)
     
  • Gold future

    2 356,50
    +14,00 (+0,60 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 036,77
    +487,19 (+0,82 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 383,71
    -12,82 (-0,92 %)
     
  • Pétrole WTI

    84,25
    +0,68 (+0,81 %)
     
  • DAX

    18 057,03
    +139,75 (+0,78 %)
     
  • FTSE 100

    8 117,28
    +38,42 (+0,48 %)
     
  • Nasdaq

    15 611,76
    -100,99 (-0,64 %)
     
  • S&P 500

    5 048,42
    -23,21 (-0,46 %)
     
  • Nikkei 225

    37 934,76
    +306,28 (+0,81 %)
     
  • HANG SENG

    17 651,15
    +366,61 (+2,12 %)
     
  • GBP/USD

    1,2520
    +0,0009 (+0,07 %)
     

L’euro plombé par la crise du gaz, la BCE peut-elle lui sauver la mise ? Le conseil Bourse

Krakenimages.com/Adobe Stock

L’euro poursuit sa descente aux enfers face au billet vert, la monnaie unique chutant sous 0,99 dollar, à l’heure où ces lignes sont écrites. “Le cours de l’EUR/USD (euro/dollar) vient de casser son plus bas depuis 2002 et évolue actuellement sous les 0,99, impacté par l’énergie et la hausse du dollar”, observe IG France. L’arrêt total de Nord Stream 1 annoncé vendredi, après 3 jours de maintenance, pèse sur la monnaie unique. “Vendredi, les dirigeants de l’UE doivent se réunir en urgence afin de discuter des risques concernant l’énergie, mais peu de solutions alternatives s’offrent à eux et plus l’hiver approche plus le risque grandit pour les ménages et les industries”, avertit Vincent Boy, analyste marchés chez IG France.

La promesse d'une possible hausse de taux de 0,75 point de pourcentage cette semaine par la BCE a “à peine fait frissonner l'euro, mais pas de quoi lui permettre pour le moment de revenir au-dessus de la parité”, observe de son côté WesternUnion. Alors que les positions spéculatives sur les marchés à terme et options américains sont vendeuses nettes d'euro à un niveau que l'on n'avait plus vu depuis la pandémie de Covid-19 (source CFTC), “il incombe aux banquiers centraux européens de rassurer les marchés sur la menace que fait peser l'inflation sur l'économie mais aussi la capacité des marchés du crédit européens à accueillir sans heurt majeur un durcissement brutal des conditions monétaires et une réduction de la liquidité après 8 années passées dans un environnement (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Ubisoft commence à récolter les fruits de ses efforts : le conseil Bourse
Pétrole : l'Opep+ réduit sa production pour la première fois depuis plus d'un an
Smartphones : Apple leader du marché aux États-Unis pour la première fois
SNCF : le scénario noir pour cet hiver
Entrée en Bourse de Porsche : décision imminente de Volkswagen