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Législatives 2024 : les mesures d'urgence pour le pouvoir d'achat au cœur du débat sur TF1

Capture d'écran TF1

Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard, réunis sur le même plateau de télévision. À cinq jours du premier tour des élections législatives anticipées, déclenchées par la dissolution de l'Assemblée nationale, les leaders des trois blocs politiques en compétition ont débattu ce mardi soir sur TF1. Animé par Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray, ce rendez-vous était particulièrement attendu et marque la dernière ligne droite d’une campagne éclair. Selon le dernier sondage de TF1 publié lundi 24 juin, le Rassemblement national (RN) est largement en tête des intentions de vote (36%), suivi du Nouveau Front populaire (NFP) (29,5%) et d'Ensemble (20,5%).

Premier sujet abordé lors de ce débat, le pouvoir d'achat, au cœur des préoccupations des Français. Jordan Bardella a tout d'abord fustigé la situation budgétaire en «quasi faillite» du pays. Le président du RN a ensuite indiqué vouloir baisser la TVA de 20% à 5,5% sur l'énergie, le fioul et le carburant. Une «mesure d'urgence» qui permettra de rendre aux Français, selon lui, «10 à 15 euros de pouvoir d'achat». Selon lui, cette baisse de la TVA coûterait «12 milliards d'euros sur une année pleine», ce à quoi Gabriel Attal lui a rétorqué que selon Bercy ce serait 17 milliards d'euros.

«C'est un choix budgétaire que j'assume, je supprime pour cela un certain nombre d'avantages fiscaux dont la taxe sur les armateurs», a précisé l'eurodéputé du RN. En outre, Jordan Bardella a assuré que l'augmentation du prix du gaz prévue pour (...)

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