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Jusqu'à 117% de surcharges : la charge de Ryanair contre des voyagistes en ligne

Dovydas Pranka/Pexels

Ryanair se veut le chantre des prix les plus bas dans le monde du transport aérien. Il est vrai qu’en proposant des tarifs alléchants tout au long de l’année et très souvent des ventes flash vers certaines destinations, la compagnie low cost irlandaise est très compétitive, débouchant sur un trafic «record» l’année dernière, avec un chiffre d'affaires en hausse de 72% et un nombre de passagers qui a augmenté de 11% sur un an. La compagnie continue donc de se battre pour proposer des prix bas, mais aussi contre les agences de voyages en ligne, explique Air Journal.

Ces agences ou OTA (Online Travel Agency) sont ciblées dans sa dernière enquête intitulée «OTA Pirate». Que ce soit Lastminute.com, eDreams, Opodo, Booking.com ou On The Beach… toutes leurs pratiques sont dénoncées. En particulier celles de On The Beach, accusée de surfacturer les clients de 117%, soit 125 livres de plus par exemple pour un changement de vol. Ryanair rappelle qu'elle pratique des frais de 45 livres pour la même opération. «Notre enquête de février continue de révéler les escroqueries et les surfacturations des pirates OTA», explique Dara Brady de Ryanair.

Mais On The Beach n’est pas la seule plateforme à s’adonner à ce genre de pratique, selon cette enquête. Opodo facturerait 60 euros de frais de «service» pour… un service inexistant, tandis qu’eSky facturerait 33 euros de frais d’«annulation» pour des vols «non annulables», souligne le directeur marketing, digital et communication de la compagnie low (...)

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