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Le judo français indigné après la relaxe d'Alain Schmitt, accusé de violences sur Margaux Pinot

J.E.E/SIPA

Estimant "n'avoir pas assez de preuves de culpabilité", l'entraîneur de judo Alain Schmitt, jugé pour violence sur sa compagne la championne olympique Margaux Pinot, a été relaxé par le tribunal correctionnel de Bobigny. Une décision qui a indigné le monde du judo. Le parquet a fait appel.

"Choquée", "abasourdie": la relaxe de l'entraîneur de judo Alain Schmitt de faits de violences conjugales sur la championne olympique Margaux Pinot a provoqué l'indignation du monde du judo français mercredi, au moment où le parquet fait appel de la décision. Estimant "n'avoir pas assez de preuves de culpabilité" de violences de l'ex-membre de l'équipe de France de judo sur sa compagne le week-end dans la région parisienne, le tribunal correctionnel de Bobigny a relaxé Alain Schmitt. Au procès, le parquet avait dénoncé "des violences très graves, même pour un primo-délinquant", de la part d'Alain Schmitt, et requis à son encontre un an de prison avec sursis. Après la relaxe, il a annoncé faire appel.

"On n'a pas compris et on a été abasourdi, on a pris un KO par la décision", a déclaré à l'AFP le président de la Fédération française de judo Stéphane Nomis. "Pour le commun des mortels, absence de preuves en voyant la tête de Margaux, c'est incompréhensible", a insisté M. Nomis. Dans un message de soutien à sa collègue en équipe de France, l'étoile féminine du judo français Clarisse Agbégnénou s'est dite "choquée".

"Je n'ai pas les mots pour exprimer tout ce qui se passe dans ma tête et mon corps en tant que femme face à ce que ma coéquipière Margaux Pinot a subi", a tweeté la porte-drapeau de la délégation française aux Jeux olympiques de Tokyo. "Nous sommes tous profondément touchés par ce(...)


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