JO 2024 : quels sont les risques de grève à 100 jours de la cérémonie d'ouverture ?
La préparation des Jeux olympiques de 2024 à Paris bat son plein. Et avec elle surgit l'ombre de possibles mouvements sociaux. Ainsi, la CGT a déposé un préavis de grève ce lundi 15 avril, courant jusqu'au 15 septembre. Néanmoins, Emmanuel Macron a exprimé sa confiance envers les syndicats, soulignant l'importance de maintenir la paix sociale pendant les Jeux. «On va montrer que la France sait accueillir un grand événement, se mobiliser en étant exemplaire sur le plan du droit du travail, de la sécurité au travail. Oui à la trêve olympique en matière sociale», a déclaré le chef de l'État lors de son interview exclusive avec RMC et BFMTV.
Les négociations sont en cours dans divers secteurs pour garantir des conditions de travail favorables aux employés mobilisés durant les Jeux. Dans le secteur aérien, les syndicats ont signé une trêve olympique en contrepartie d'une hausse de leurs primes. Quant aux forces de l'ordre, les plus mobilisés toucheront jusqu'à 1 900 euros de prime. Les demandes des syndicats, dont Force Ouvrière, portent sur une prime de 1 700 euros et des garanties concernant les congés et les logements.
Autre secteur sous tension, les hôpitaux de Paris. Les soignants recevront une prime de 800 à 1 200 euros par semaine de congé non posée. 2 500 euros pour les médecins. Mais les syndicats réclament 2 000 euros pour tous, et une réunion intersyndicale doit se tenir pour discuter d'une éventuelle mobilisation. La menace de grève touche aussi le secteur des transports. (...)
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