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Javier Milei, Geert Wilders : les programmes économiques de ces deux populistes de droite

Adrián Escandar

Si en 2022 les défaites de Jair Bolsonaro au Brésil, de Donald Trump aux États-Unis, ou encore du Slovène Janez Janša, ont pu laisser penser que la mouvance populiste mondiale tendait à s’affaiblir, l’actualité récente nous a montré le contraire. Le 19 novembre, Javier Milei a été élu président de l’Argentine avec 55,7% des voix, et ce 22 novembre Geert Wilders est arrivé en tête des élections législatives néerlandaises.

Qu’ont donc en commun ces deux leaders qualifiés de «populistes» ? Pour le comprendre, la première chose à faire est de définir le terme qui reste, malgré tout, un peu nébuleux. Car si des personnalités aussi différentes que Javier Milei et Geert Wilders – mais aussi Donald Trump, Recep Tayyip Erdogan, Milos Zeman, Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon – peuvent être dépeintes sous le même vocable de «populistes», c’est bien qu’il existe différentes concrétisations du concept. Après tout, qu’est-ce qui peut bien rapprocher Juan Péron qui se proclamait de gauche et Donald Trump, illustration caricaturale d’un capitalisme de connivence ? Ou encore le socialiste chilien Salvador Allende et Jair Bolsonaro, de la droite conservatrice brésilienne ?

Difficile de les mettre tous dans le même sac donc. Néanmoins, il existe un point commun que l’on retrouve dans les formes de néo-populisme : l'idée d’un peuple qui s’oppose à ses élites, jugées incompétentes et corrompues, et donc le rejet de la classe politique voire d’un système entier à l’origine de toutes les inégalités. (...)

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