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Héritage : comment les banques justifient-elles les frais prélevés pour une succession ?

héritage
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« Les banques ne sont que des vautours ! » Un commentaire saignant, parmi d'autres réactions d'internautes, suite aux récurrents articles sur les frais bancaires de succession publiés chaque année à l'approche de la Toussaint. L'illustration des sentiments que peuvent générer ces frais appliqués au décès des clients. MoneyVox publie ce jeudi 27 octobre son baromètre annuel des tarifs bancaires prévus en cas de succession. Principal enseignement : une réduction moyenne de 4%, ce qui reste faible au regard de l'émotion suscitée en juin dernier face à la facturation appliquée pour la clôture du Livret A d'un enfant décédé.

Comment les banques justifient-elles cette facturation ? Sollicitée par MoneyVox en amont de la publication de ce baromètre, la Fédération bancaire française (FBF) renvoie d'une part aux explications fournies sur la brochure de son site Les Clés de la banque. Et la FBF nous a en outre répondu par écrit, au nom de la profession bancaire : « Le décès d'un proche est un moment difficile. Dans ce genre de situation, on n'a pas nécessairement comme premier réflexe de contacter sa banque. Or, c'est pourtant l'un des interlocuteurs à prévenir, car de nombreuses opérations non automatisables, contribuant à la sécurité et la fiabilité de la succession (quel que soit le montant), doivent être faites. »

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