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Le gynécologue Emile Daraï mis en examen pour violences volontaires sur 32 femmes

© Getty Images

Le gynécologue parisien Émile Daraï, a été mis en examen pour violences volontaires à l’égard de 32 plaignantes qui l’accusent de viol suite à des examens vaginaux et rectaux brutaux, réalisés sans recueillir leur consentement.

Ce sexagénaire spécialiste de l’endométriose, ancien chef du service de gynécologique-obstétrique et de médecine de la reproduction à l’hôpital Tenon, a été mis en examen mercredi. Il est également placé sous contrôle judiciaire avec une interdiction de contact avec les victimes et de tenir des consultations de gynécologie, selon une source judiciaire jeudi, confirmant une information de Franceinfo.

À la suite d’une première plainte, le parquet de Paris avait ouvert le 28 septembre 2021 une enquête préliminaire pour viol par personne ayant autorité sur mineur de plus de 15 ans, élargie par la suite à viol en réunion. Le 3 janvier, une information judiciaire avait finalement été ouverte pour violences par personne chargée d’une mission de service public.

LIRE AUSSI >> Spéculum, toucher vaginal… À quoi doit ressembler un examen gynécologique normal ?

Une avancée pour les plaignantes

« Mes clientes voient une avancée dans l’enquête, elles attendaient ça depuis un an pour certaines. Sur la qualification, certaines sont déçues, mais de toute façon on n’en est qu’au stade de l’information judiciaire », a réagi, My-Kim Yang-Paya, avocate d’une quinzaine de plaignantes ayant dénoncé des violences aggravées ou des viols. Ses clientes « ont déposé plainte pour qu’il n’y ait pas d’autres victimes, en pensant à leur fille ou petite-fille », a-t-elle précisé, voyant également dans l’interdiction de tenir des...

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