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Grèce : Les dirigeants européens mettent la pression sur Tsipras

Grèce : Encore quelques obstacles à franchir

L’appel d’Alexis Tsipras à voter "non" lors du référendum qui se tiendra dimanche est visiblement resté en travers des créanciers de la Grèce.

Jeudi, le FMI a ainsi publié un rapport imprévu, réduisant de 2,5% à 0% ses prévisions pour la croissance cette année, et ce sans tenir compte de la mise sous contrôle des capitaux depuis lundi en Grèce. Il a imputé la situation aux changements politiques survenus "plus tôt cette année" dans ce pays, dans une allusion à l'arrivée au pouvoir du parti de la gauche radicale Syriza fin janvier.

Pour ajouter à la confusion, le FMI a prédit que la Grèce aurait besoin d'une nouvelle aide européenne de 36 milliards d'euros dans les trois ans, même si elle acceptait dimanche le plan des créanciers soumis à référendum, et d'une forte restructuration de sa dette, dont l'UE devrait alors supporter la charge.

Le porte-parole du gouvernement grec, Gabriel Sakellaridis, a voulu considérer le verre à moitié plein, notant que "le rapport du FMI donne pleinement raison au gouvernement grec" au sujet de la dette. Il a considéré ce rapport comme "un échec" des plans d'aide à la Grèce, en vigueur depuis 2010, et qui se sont terminés mardi par le non-paiement d'une somme de 1,55 milliard d'euros due au FMI.

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Les conséquences du référendum au coeur de la campagne

La campagne éclair pour ce référendum, annoncé le week-end dernier, a ainsi vraiment débuté jeudi, par cette pression sur le gouvernement. La question posée aux Grecs dimanche est simple en apparence: êtes-vous d'accord avec la proposition des créanciers faite en date du 25 juin?

Pour le gouvernement, qui n'a aucune intention de sortir de la zone euro, un non servirait surtout à être "mieux armé" pour la poursuite des négociations avec les créanciers. Mais ces derniers soutiennent qu'un non équivaudrait à un... Pour ...

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