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Grève des éboueurs à Paris : le préfet va réquisitionner du personnel pour ramasser les poubelles

Fred VIELCANET

Le gouvernement a décidé mercredi 15 mars de passer en force dans le bras de fer qui l'oppose à la mairie de Paris au 10e jour de grève des éboueurs parisiens contre la réforme des retraites, en ordonnant des réquisitions pour vider les poubelles qui s'entassent dans la capitale. Sans surprise, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, sur ordre du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, a informé dans la soirée Anne Hidalgo de sa décision de réquisitionner des éboueurs, ce qu'elle avait refusé de faire au préalable.

Dès mardi soir, Gérald Darmanin avait prévenu que si la maire PS de Paris refusait de procéder elle-même aux réquisitions, l'État le ferait pour des raisons de salubrité publique. Mercredi après-midi, devant le Sénat, le ministre de l'Intérieur l'a redit. Alors que le projet de réforme des retraites a passé l'étape cruciale de la commission mixte paritaire (CMP), 7.600 tonnes de déchets encombraient mercredi matin les trottoirs de la capitale, selon la mairie. Le conflit des éboueurs a donné une mauvaise image de Paris, notamment à l'étranger, que le gouvernement et la mairie ont rapidement utilisée sur le terrain politique. Par la voix de son porte-parole Olivier Véran, l'exécutif a accusé Anne Hidalgo d'"imposer" aux Parisiens "les conséquences" de son soutien au mouvement de grève contre les retraites. Dès le début de l'examen de la réforme fin janvier, l'ex-candidate à la présidentielle de 2022 avait choisi d'afficher l'Hôtel de Ville comme "mairie solidaire" (...)

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