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Face à la pénurie de médicaments, les patients trouvent des alternatives parfois dangereuses

Pixabay

3 700 médicaments en rupture de stock. En 2022, les pénuries de médicaments ont atteint un niveau préoccupant, et le chiffre s’annonce déjà à la hausse pour cette année 2023, s’inquiète l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Comme l’indique Ouest-France, les pénuries ou tensions d’approvisionnement pour des traitements qui peuvent être parfois vitaux poussent les patients à recourir à certaines alternatives. Mais cela n’est pas toujours sans danger.

Les causes de ces pénuries sont connues et nombreuses. Difficultés d’approvisionnement des matières premières ou des articles de conditionnement, délocalisation, hausse de la demande… L’hiver dernier, la pénurie de Doliprane et d’amoxicilline en pleine crise du Covid-19 et de bronchiolite avait suscité quelques questions concernant la gestion des stocks.

Certains patients qui voient leurs médicaments disparaître des pharmacies, doivent changer de traitement quand c'est possible. D’autres témoignent auprès de Ouest-France qu’ils arrêtent de se soigner en attendant le retour des stocks. Mais, il y a un grand danger à arrêter les traitements.

Certains prennent le taureau par les cornes et gèrent eux-mêmes les stocks. Après avoir été victime d’une pénurie d’anti-inflammatoires, cette Parisienne explique avoir «un an de Levothyrox, six mois de Ramipril» chez elle pour soigner sa tension. Ces médicaments ne sont pourtant pas touchés par la pénurie, souligne Ouest-France.

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